The Faculty of Economic, Social and Management Sciences has hosted many events over the course of its history. Here's a look back at some of our Faculty's most memorable moments.

60 years of the Faculty

In October 2022, the Faculty celebrated its 60th anniversary. To mark this anniversary, the Faculty organized two major events that gave everyone the opportunity to get together and share backgrounds, experiences, talents and memories!

On October 13, a conference-debate around the theme "New school rhythms: At university too?" in the presence of the Minister of Higher Education and party representatives. The debate was moderated by Béatrice Delvaux (Chief Editorialist, Le Soir). The full conference-debate is available on Youtube.

On October 15, an anniversary evening around the theme "La Faculté a des talents". Alumni, professors, researchers and students pitted their talents against the challenges of today and tomorrow: entrepreneurship, sustainable development, digital transition and innovative pedagogies were on the menu of a colorful academic session. The academic session was followed by a festive and convivial evening featuring cocktails, a meal and an after-dinner. All photos of the event are available on the phototheque.

Discover the souvenir video of the event here :

60 ans

Baccalaureate graduation ceremony

On February 16, 2024, the graduation ceremony for the Bachelor of Information and Communication, Management Engineering, Economics and Management and Political Science programs took place. The ceremony was followed by a "verre de l'amitié", served by the Cercle des étudiants, bringing together graduates, their families and members of the Faculty's staff. The ceremony marked the crowning of several years of effort and sharing, both for students and their loved ones and for staff members.

Reforming Belgium" symposium

On October 10, 2023, a colloquium around the theme "Faut-il réformer la Belgique" was held at the Faculty of Economics, Social Sciences and Management. This featured various panels and also a political debate between representatives of the six parties of the Fédération Wallonie Bruxelles and moderated by Arnaud Ruyssen (RTBF).

Spotlight

News

Candidate mandates

Eight researchers have been awarded an aspirant mandate to start doctoral research:

  • Ilario AMATO, Dorian HÈNE, Violaine PIENGEON and Camille PONSARD from the Faculty of Science,
  • Hadrien COUSIN from the Faculty of Philosophy and Letters,
  • Aline NARDI from the Faculty of Law
  • Angela LÜLLE and Elena PEREZ VELASCO from the Faculty of Economic, Social and Management Sciences.

The success rate of our doctoral researchers is 30%!

Postdoctoral research fellowships

At postdoctoral researcher level, UNamur is proud to welcome eight new research fellows for a 3-year term (success rate: 30%).

These are

  • Andrea BONVICINI, Damien DETRAUX and Louise THINES from the Faculty of Sciences
  • Hannah DE CORTE, Angela COSSU, Silverio FRANZONI and Mounir HABACHY from the Faculty of Philosophy and Letters
  • Juliette CRESPIN BOUCAUD from the Faculty of Economics and Management Sciences.

In addition, Mr Vincent LIEGEOIS has been promoted to the title of "Maître de recherches".

Télévie call

The Télévie call has enabled Professor Carine MICHIELS to obtain funding to further research aimed at improving the radiotherapeutic approach to inducing systemic anti-tumor immunity after local irradiation.

Logo du Télévie - un coeur rouge

Grants for scientific publications

Let's also mention the receipt of a subsidy for scientific publications (periodicals), one for Benoît CHAMPAGNE and the second for Carolin MAYER.

Congratulations to them!

Positive Impact Rating 2023: UNamur joins the ranking of the most responsible business schools!

Students
Ranking

This is a first for UNamur: with encouraging results, it has been included in the prestigious Positive Impact Rating (PIR) ranking reserved for Business Schools worldwide! By being ranked in the third of the five PIR levels, UNamur is demonstrating its ability to meet societal challenges.

Logo PIR Rating

Comment nos étudiants des filières en management évaluent-ils la manière dont l’UNamur agit face à des enjeux sociétaux tels que le développement durable ou l’éthique ? Estiment-ils que leur formation prend suffisamment en compte ces aspects ? Sont-ils satisfaits de la stratégie sociétale développée au sein de leur faculté et de l’UNamur ? Voilà quelques-unes des questions soulevées par le PIR, dont les résultats 2023 viennent d’être dévoilés.

Une évaluation par les étudiants

Le PIR a la particularité d’être un rating conçu pour des étudiants et coordonné par des étudiants. Pour l’UNamur, c’est la Jen Consult, présidée par Téo Camberlin, qui a pris part à ce projet. Ce sont donc les étudiants qui sont sollicités pour évaluer leur établissement. L’objectif est de mesurer comment les institutions d’enseignement contribuent à résoudre des défis sociétaux. Concrètement, le PIR pose une vingtaine de questions aux étudiants, réparties en sept dimensions : la gouvernance, la culture de l'institution, les programmes d'études, les méthodes d'apprentissage, le soutien aux étudiants, le rôle de modèle et son engagement public. A l’issue de l’évaluation, chaque établissement reçoit son degré de développement général en matière d’impact sociétal. Cinq niveaux de performance sont établis : débutant, émergeant, en progression, en transformation et pionnier.  

Pour sa première participation, l’UNamur, et plus particulièrement la Faculté de Sciences économiques, sociales et de gestion (FSESG) au sein de laquelle les étudiants se sont mobilisés pour répondre au questionnaire du PIR, atteint un score de 6,7/10. Elle intègre ainsi le troisième niveau d’impact « en progression », juste aux portes du 4e niveau, « en transformation » ! Les trois critères sur lesquels elle s’est particulièrement distinguée sont les dimensions culture, gouvernance et interdisciplinarité de la formation. Ce dernier critère montre que les questions d’éthique, de responsabilité et de durabilité sont intégrées à la formation. « Ce classement est très intéressant pour l’évaluation de nos actions et de nos programmes de formation en gestion, puisque ce sont nos étudiants qui nous donnent leur ressenti. Nous le percevons comme un véritable outil d’aide au développement et d’évolution », estime Pietro Zidda, Doyen de la FSESG.

« Ces premiers résultats démontrent que nos actions déployées et à venir, ainsi que notre modèle de formation répondent favorablement aux attentes de nos étudiants et de notre société ». 

Pietro Zidda Doyen de la FSESG

Un exemple ?  La réforme « Learning by doing » mise en œuvre depuis 2019 par la FSESG est un des axes stratégiques déployés pour relever davantage les défis sociétaux. Elle propose une approche pédagogique innovante, qui place l’étudiant comme acteur de sa formation en lui permettant de développer ses compétences dans des situations réelles ou proches de la réalité. Appliquée pour tous les étudiants, dès la 1èrebac, depuis 2019, cette approche se matérialise sous la forme de projets qui se veulent collaboratifs et transversaux et qui prennent de plus en plus d’importance au fur et à mesure des années de bachelier.  

« Learning by doing », permet aussi d’ouvrir les étudiants à un certain nombre de valeurs fondamentales, chères à l’UNamur et intégrées dans son plan stratégique Univers 2025, telles que l’engagement citoyen, l’ouverture sur le monde, la soutenabilité et la solidarité. A titre d’exemple, des thématiques sociétales sont travaillées dans les projets (objectifs de développement durable, responsabilité sociétale des entreprises, enjeux climatiques, défis démocratiques, inégalités numériques, etc.) et une activité d’engagement citoyen de type service-learningest proposée aux étudiants de 3ème année bachelier.

« Nous sommes dans la bonne direction, et nous nous réjouissons que cela soit reconnu par nos étudiants », conclut Pietro Zidda. En termes d’évolution, les étudiants sollicités recommandent notamment de poursuivre les projets en lien avec l’innovation, l’éthique et la durabilité. Ils plébiscitent le maintien d’un enseignement qui sensibilise à l’impact que les étudiants peuvent avoir sur le monde. Ils souhaitent par ailleurs que l’attention soit davantage portée sur la performance énergétique des lieux d’études. 

En savoir plus

Retrouvez aussi le classement de l’UNamur dans The Impact Ranking 2023

Hybrid teaching for classes at staggered times

Pedagogy

The health crisis has proven to be a tremendous catalyst for the use by the academic world of distance learning devices. A forced march that forced teachers and students to acquire sometimes unmastered techniques. In the Faculty of Economics, Social Sciences and Management, a think tank led by Jean-Yves Gnabo, Director of the Economics and Management department with shift hours, and Denise Van Dam, educational coordinator, investigated the opportunity of open the field of possibilities in technical and educational matters. Objective? Offer learners more flexible Bachelor's or master’s training courses designed specifically for adults returning to study, by providing them with an environment that allows them to live a memorable, impactful experience that serves as a springboard.

Horaires décalés

L'enseignement à distance post crise Covid

Mis en lumière à la faveur de la crise de la COVID-19, le recours à l’enseignement à distance (e-learning) n’est pourtant pas un phénomène nouveau dans l’enseignement supérieur.  Mais il n’avait encore jamais été pérennisé au sein d’un programme.  « Au Département Economie et Gestion à horaire décalé (HD), un groupe de travail s’est très vite constitué afin d’entamer une réflexion au long cours sur la manière d’intégrer l’e-learning dans les programmes habituels des formations à horaire décalé de manière pérenne », explique Jean-Yves Gnabo.  « En effet, notre public est particulier puisqu’il doit généralement jongler entre sa vie privée, sa vie professionnelle et ses cours.  Un enseignement hybride était donc parfaitement adapté aux circonstances.  Encore fallait-il le rendre opérationnel et efficace ! »

Une méthode consultative

Au cours de l’année académique 2021-2022, un bilan a été réalisé, notamment à l’aide d’un sondage auprès d’une cinquantaine d’étudiants. En voici les points saillants :

  • 90% des étudiants trouvent que le bon nombre de séances à distance devrait être de deux ou plus (par rapport à une semaine de 4 séances de cours) ;
  • 70% des étudiants affirment que l’e-learning leur fait gagner du temps (transport et apprentissage), leur a permis de mieux combiner leurs études et leur vie familiale/professionnelle et leur a permis de valoriser les outils et compétences acquis à travers l’e-learning.
  • Ils expriment qu’ils ont parfois eu des difficultés à rester motivés et concentrés lorsque la formation était donnée 100% à distance mais estiment que ces difficultés peuvent être contournées par des dispositifs pédagogiques adéquats.

L’objectif de ce sondage était bien sûr d’arriver à trouver une formule hybride qui satisfasse une majorité d’étudiants.  En parallèle, de nombreuses réflexions ont été menées entre les enseignants et le Département Education et Technologie (DET).

La première phase de ce projet est maintenant terminée.  Elle a permis de labelliser les cours pour une durée de 3 ans par rapport aux dispositifs majoritaires.  Les cours à « distance », environ 50%, et ceux construits autour du présentiel sont d’ores et déjà visibles dans les programmes de cours (consulter la brochure ci-dessous).  Cela permet aux étudiants de mieux se projeter dans leur formation et de l’envisager de manière sereine.

Un équilibre présentiel – distanciel et une pédagogie adaptée

La deuxième phase, qui s’entamera à l’année académique prochaine (2022-2023), est la phase d’identité pédagogique.  A l’heure actuelle, toutes les formations HD en sciences économiques et de gestion combinent cours à distance et en présentiel de manière équilibrée. Le distanciel pour sa flexibilité et les gains de temps qu’il procure. Le présentiel pour stimuler les échanges et les dynamiques de groupe. Au cours de l’année, des observateurs du DET, vont observer et recenser les approches pédagogiques afin de faire émerger les approches privilégiées.  Celles-ci pourraient à terme devenir une sorte de marque de fabrique. Ainsi, ces formations pourront offrir le meilleur des deux mondes grâce à une large palette de dispositifs et d’approches pédagogiques adaptées.

Un projet qui va permettre d’envisager sereinement les opportunités d’innovation pédagogique très stimulantes, tant du point de vue des enseignants que des étudiants, de découvrir d’autres manières d’apprendre et d’en tirer le meilleur pour envisager l’avenir professionnel, où la collaboration et le distanciel font partie du quotidien.

Les équipes impliquées

Département à horaire décalé de la Faculté de sciences économiques, sociales et de gestion

•    Jean-Yves Gnabo, directeur et Denise Van Dam, coordinatrice pédagogique
•    Corentin Burnay, Auguste Debroise, Wafa Hammedi, Eric Toulmonde et Lorenzo Tirmarchi

Département Education et Technologie (DET)

•    Valérie Wathelet, Charlotte Sine, Valérie Tonneau

A qui s’adressent ces formations ?

Ces formations s'adressent à des personnes diplômées de l’enseignement supérieur ou disposant de 5 années d’expériences professionnelles, curieuses, volontaires, exigeantes, souhaitant développer leur esprit critique, mieux comprendre les grands défis sociaux-économiques actuels ou encore les profondes mutations en cours au sein du monde de l’entreprise.

"Enriching", "magnificent", "exciting": students are seduced by "BIP", a mobility programme

Economy
Students

Noé, Méline and Romain are master’s students in management sciences and management engineering at UNamur. In spring 2023, they and five other students had the opportunity to spend a few days in Italy, at the Università Carlo Cattaneao near Milan. The exchange was organised as part of the Blended Intensive Programmes (BIP) under the Erasmus + programme. Read their testimonials!

Les étudiants de Gestion participent au programme BIP

C’est une nouveauté pédagogique !

Le BIP est une mobilité courte et hybride qui permet à des étudiants de réaliser de courts séjours à l’étranger (entre 5 jours min et 30 jours max), qu’ils accompagnent par un volume quelconque d'apprentissage virtuel. Ce printemps 2023, ce sont huit étudiantes et étudiants des masters en sciences de gestion et ingénieur de gestion de la Faculté des sciences économiques, sociales et de gestion qui ont pu y participer. Organisé dans le cadre du programme Erasmus +, ce premier BIP avait pour thématique : «Customer Relationship Management».  

L’expérience s’est déroulée lors du second quadrimestre et était organisée, cette année, par l’Università Carlo Cattaneao (Italie). Les étudiants namurois ont ainsi pu y séjourner durant une semaine au mois de mai 2023.

Interculturalité, rencontres, découvertes : des témoignages enthousiastes !

« C’est une expérience unique sur le plan professionnel, humain et culturel. J'ai appris à travailler avec des étudiants internationaux, à communiquer en anglais, à apprécier nos différences culturelles et à sortir de ma zone de confort », estime Noé Ruidant.  

« C'est pour ma part un avant-goût à l'Erasmus longue durée qui aura lieu l'année prochaine, j'ai déjà hâte ! Des superbes rencontres tant du côté belge que du côté des autres nationalités, on a appris tellement de choses en une semaine sur nous-même et sur les autres. La façon d'enseigner et les mentalités sont différentes selon les pays et les nationalités ; c'était passionnant de découvrir cela », confie Mélissa Olimar.  

« C’est une magnifique expérience où l’on découvre de nouvelles cultures et d’autres étudiants », pointe Méline Praile.  

« J'ai adoré rencontrer les étudiants Finlandais/Italiens/Allemands, c'était super enrichissant de découvrir d'autres cultures et d'autres façon de travailler. On a aussi eu la chance de faire beaucoup de visites (Milan, Lac de Come, Ferrero, Barolo,etc). Bref, ce voyage était un parfait mélange de travail, de visites et de rencontres », résume Romain Otte. 

Le programme BIP 2023 en quelques chiffres

5

universités partenaires dans le projet

6

Professeurs de ces différentes universités impliqués dans le programme (dont le Prof. Pietro Zidda pour la FSESG)

36

étudiants participants (belges, italiens, finlandais et allemands)

Candidate mandates

Eight researchers have been awarded an aspirant mandate to start doctoral research:

  • Ilario AMATO, Dorian HÈNE, Violaine PIENGEON and Camille PONSARD from the Faculty of Science,
  • Hadrien COUSIN from the Faculty of Philosophy and Letters,
  • Aline NARDI from the Faculty of Law
  • Angela LÜLLE and Elena PEREZ VELASCO from the Faculty of Economic, Social and Management Sciences.

The success rate of our doctoral researchers is 30%!

Postdoctoral research fellowships

At postdoctoral researcher level, UNamur is proud to welcome eight new research fellows for a 3-year term (success rate: 30%).

These are

  • Andrea BONVICINI, Damien DETRAUX and Louise THINES from the Faculty of Sciences
  • Hannah DE CORTE, Angela COSSU, Silverio FRANZONI and Mounir HABACHY from the Faculty of Philosophy and Letters
  • Juliette CRESPIN BOUCAUD from the Faculty of Economics and Management Sciences.

In addition, Mr Vincent LIEGEOIS has been promoted to the title of "Maître de recherches".

Télévie call

The Télévie call has enabled Professor Carine MICHIELS to obtain funding to further research aimed at improving the radiotherapeutic approach to inducing systemic anti-tumor immunity after local irradiation.

Logo du Télévie - un coeur rouge

Grants for scientific publications

Let's also mention the receipt of a subsidy for scientific publications (periodicals), one for Benoît CHAMPAGNE and the second for Carolin MAYER.

Congratulations to them!

Positive Impact Rating 2023: UNamur joins the ranking of the most responsible business schools!

Students
Ranking

This is a first for UNamur: with encouraging results, it has been included in the prestigious Positive Impact Rating (PIR) ranking reserved for Business Schools worldwide! By being ranked in the third of the five PIR levels, UNamur is demonstrating its ability to meet societal challenges.

Logo PIR Rating

Comment nos étudiants des filières en management évaluent-ils la manière dont l’UNamur agit face à des enjeux sociétaux tels que le développement durable ou l’éthique ? Estiment-ils que leur formation prend suffisamment en compte ces aspects ? Sont-ils satisfaits de la stratégie sociétale développée au sein de leur faculté et de l’UNamur ? Voilà quelques-unes des questions soulevées par le PIR, dont les résultats 2023 viennent d’être dévoilés.

Une évaluation par les étudiants

Le PIR a la particularité d’être un rating conçu pour des étudiants et coordonné par des étudiants. Pour l’UNamur, c’est la Jen Consult, présidée par Téo Camberlin, qui a pris part à ce projet. Ce sont donc les étudiants qui sont sollicités pour évaluer leur établissement. L’objectif est de mesurer comment les institutions d’enseignement contribuent à résoudre des défis sociétaux. Concrètement, le PIR pose une vingtaine de questions aux étudiants, réparties en sept dimensions : la gouvernance, la culture de l'institution, les programmes d'études, les méthodes d'apprentissage, le soutien aux étudiants, le rôle de modèle et son engagement public. A l’issue de l’évaluation, chaque établissement reçoit son degré de développement général en matière d’impact sociétal. Cinq niveaux de performance sont établis : débutant, émergeant, en progression, en transformation et pionnier.  

Pour sa première participation, l’UNamur, et plus particulièrement la Faculté de Sciences économiques, sociales et de gestion (FSESG) au sein de laquelle les étudiants se sont mobilisés pour répondre au questionnaire du PIR, atteint un score de 6,7/10. Elle intègre ainsi le troisième niveau d’impact « en progression », juste aux portes du 4e niveau, « en transformation » ! Les trois critères sur lesquels elle s’est particulièrement distinguée sont les dimensions culture, gouvernance et interdisciplinarité de la formation. Ce dernier critère montre que les questions d’éthique, de responsabilité et de durabilité sont intégrées à la formation. « Ce classement est très intéressant pour l’évaluation de nos actions et de nos programmes de formation en gestion, puisque ce sont nos étudiants qui nous donnent leur ressenti. Nous le percevons comme un véritable outil d’aide au développement et d’évolution », estime Pietro Zidda, Doyen de la FSESG.

« Ces premiers résultats démontrent que nos actions déployées et à venir, ainsi que notre modèle de formation répondent favorablement aux attentes de nos étudiants et de notre société ». 

Pietro Zidda Doyen de la FSESG

Un exemple ?  La réforme « Learning by doing » mise en œuvre depuis 2019 par la FSESG est un des axes stratégiques déployés pour relever davantage les défis sociétaux. Elle propose une approche pédagogique innovante, qui place l’étudiant comme acteur de sa formation en lui permettant de développer ses compétences dans des situations réelles ou proches de la réalité. Appliquée pour tous les étudiants, dès la 1èrebac, depuis 2019, cette approche se matérialise sous la forme de projets qui se veulent collaboratifs et transversaux et qui prennent de plus en plus d’importance au fur et à mesure des années de bachelier.  

« Learning by doing », permet aussi d’ouvrir les étudiants à un certain nombre de valeurs fondamentales, chères à l’UNamur et intégrées dans son plan stratégique Univers 2025, telles que l’engagement citoyen, l’ouverture sur le monde, la soutenabilité et la solidarité. A titre d’exemple, des thématiques sociétales sont travaillées dans les projets (objectifs de développement durable, responsabilité sociétale des entreprises, enjeux climatiques, défis démocratiques, inégalités numériques, etc.) et une activité d’engagement citoyen de type service-learningest proposée aux étudiants de 3ème année bachelier.

« Nous sommes dans la bonne direction, et nous nous réjouissons que cela soit reconnu par nos étudiants », conclut Pietro Zidda. En termes d’évolution, les étudiants sollicités recommandent notamment de poursuivre les projets en lien avec l’innovation, l’éthique et la durabilité. Ils plébiscitent le maintien d’un enseignement qui sensibilise à l’impact que les étudiants peuvent avoir sur le monde. Ils souhaitent par ailleurs que l’attention soit davantage portée sur la performance énergétique des lieux d’études. 

En savoir plus

Retrouvez aussi le classement de l’UNamur dans The Impact Ranking 2023

Hybrid teaching for classes at staggered times

Pedagogy

The health crisis has proven to be a tremendous catalyst for the use by the academic world of distance learning devices. A forced march that forced teachers and students to acquire sometimes unmastered techniques. In the Faculty of Economics, Social Sciences and Management, a think tank led by Jean-Yves Gnabo, Director of the Economics and Management department with shift hours, and Denise Van Dam, educational coordinator, investigated the opportunity of open the field of possibilities in technical and educational matters. Objective? Offer learners more flexible Bachelor's or master’s training courses designed specifically for adults returning to study, by providing them with an environment that allows them to live a memorable, impactful experience that serves as a springboard.

Horaires décalés

L'enseignement à distance post crise Covid

Mis en lumière à la faveur de la crise de la COVID-19, le recours à l’enseignement à distance (e-learning) n’est pourtant pas un phénomène nouveau dans l’enseignement supérieur.  Mais il n’avait encore jamais été pérennisé au sein d’un programme.  « Au Département Economie et Gestion à horaire décalé (HD), un groupe de travail s’est très vite constitué afin d’entamer une réflexion au long cours sur la manière d’intégrer l’e-learning dans les programmes habituels des formations à horaire décalé de manière pérenne », explique Jean-Yves Gnabo.  « En effet, notre public est particulier puisqu’il doit généralement jongler entre sa vie privée, sa vie professionnelle et ses cours.  Un enseignement hybride était donc parfaitement adapté aux circonstances.  Encore fallait-il le rendre opérationnel et efficace ! »

Une méthode consultative

Au cours de l’année académique 2021-2022, un bilan a été réalisé, notamment à l’aide d’un sondage auprès d’une cinquantaine d’étudiants. En voici les points saillants :

  • 90% des étudiants trouvent que le bon nombre de séances à distance devrait être de deux ou plus (par rapport à une semaine de 4 séances de cours) ;
  • 70% des étudiants affirment que l’e-learning leur fait gagner du temps (transport et apprentissage), leur a permis de mieux combiner leurs études et leur vie familiale/professionnelle et leur a permis de valoriser les outils et compétences acquis à travers l’e-learning.
  • Ils expriment qu’ils ont parfois eu des difficultés à rester motivés et concentrés lorsque la formation était donnée 100% à distance mais estiment que ces difficultés peuvent être contournées par des dispositifs pédagogiques adéquats.

L’objectif de ce sondage était bien sûr d’arriver à trouver une formule hybride qui satisfasse une majorité d’étudiants.  En parallèle, de nombreuses réflexions ont été menées entre les enseignants et le Département Education et Technologie (DET).

La première phase de ce projet est maintenant terminée.  Elle a permis de labelliser les cours pour une durée de 3 ans par rapport aux dispositifs majoritaires.  Les cours à « distance », environ 50%, et ceux construits autour du présentiel sont d’ores et déjà visibles dans les programmes de cours (consulter la brochure ci-dessous).  Cela permet aux étudiants de mieux se projeter dans leur formation et de l’envisager de manière sereine.

Un équilibre présentiel – distanciel et une pédagogie adaptée

La deuxième phase, qui s’entamera à l’année académique prochaine (2022-2023), est la phase d’identité pédagogique.  A l’heure actuelle, toutes les formations HD en sciences économiques et de gestion combinent cours à distance et en présentiel de manière équilibrée. Le distanciel pour sa flexibilité et les gains de temps qu’il procure. Le présentiel pour stimuler les échanges et les dynamiques de groupe. Au cours de l’année, des observateurs du DET, vont observer et recenser les approches pédagogiques afin de faire émerger les approches privilégiées.  Celles-ci pourraient à terme devenir une sorte de marque de fabrique. Ainsi, ces formations pourront offrir le meilleur des deux mondes grâce à une large palette de dispositifs et d’approches pédagogiques adaptées.

Un projet qui va permettre d’envisager sereinement les opportunités d’innovation pédagogique très stimulantes, tant du point de vue des enseignants que des étudiants, de découvrir d’autres manières d’apprendre et d’en tirer le meilleur pour envisager l’avenir professionnel, où la collaboration et le distanciel font partie du quotidien.

Les équipes impliquées

Département à horaire décalé de la Faculté de sciences économiques, sociales et de gestion

•    Jean-Yves Gnabo, directeur et Denise Van Dam, coordinatrice pédagogique
•    Corentin Burnay, Auguste Debroise, Wafa Hammedi, Eric Toulmonde et Lorenzo Tirmarchi

Département Education et Technologie (DET)

•    Valérie Wathelet, Charlotte Sine, Valérie Tonneau

A qui s’adressent ces formations ?

Ces formations s'adressent à des personnes diplômées de l’enseignement supérieur ou disposant de 5 années d’expériences professionnelles, curieuses, volontaires, exigeantes, souhaitant développer leur esprit critique, mieux comprendre les grands défis sociaux-économiques actuels ou encore les profondes mutations en cours au sein du monde de l’entreprise.

"Enriching", "magnificent", "exciting": students are seduced by "BIP", a mobility programme

Economy
Students

Noé, Méline and Romain are master’s students in management sciences and management engineering at UNamur. In spring 2023, they and five other students had the opportunity to spend a few days in Italy, at the Università Carlo Cattaneao near Milan. The exchange was organised as part of the Blended Intensive Programmes (BIP) under the Erasmus + programme. Read their testimonials!

Les étudiants de Gestion participent au programme BIP

C’est une nouveauté pédagogique !

Le BIP est une mobilité courte et hybride qui permet à des étudiants de réaliser de courts séjours à l’étranger (entre 5 jours min et 30 jours max), qu’ils accompagnent par un volume quelconque d'apprentissage virtuel. Ce printemps 2023, ce sont huit étudiantes et étudiants des masters en sciences de gestion et ingénieur de gestion de la Faculté des sciences économiques, sociales et de gestion qui ont pu y participer. Organisé dans le cadre du programme Erasmus +, ce premier BIP avait pour thématique : «Customer Relationship Management».  

L’expérience s’est déroulée lors du second quadrimestre et était organisée, cette année, par l’Università Carlo Cattaneao (Italie). Les étudiants namurois ont ainsi pu y séjourner durant une semaine au mois de mai 2023.

Interculturalité, rencontres, découvertes : des témoignages enthousiastes !

« C’est une expérience unique sur le plan professionnel, humain et culturel. J'ai appris à travailler avec des étudiants internationaux, à communiquer en anglais, à apprécier nos différences culturelles et à sortir de ma zone de confort », estime Noé Ruidant.  

« C'est pour ma part un avant-goût à l'Erasmus longue durée qui aura lieu l'année prochaine, j'ai déjà hâte ! Des superbes rencontres tant du côté belge que du côté des autres nationalités, on a appris tellement de choses en une semaine sur nous-même et sur les autres. La façon d'enseigner et les mentalités sont différentes selon les pays et les nationalités ; c'était passionnant de découvrir cela », confie Mélissa Olimar.  

« C’est une magnifique expérience où l’on découvre de nouvelles cultures et d’autres étudiants », pointe Méline Praile.  

« J'ai adoré rencontrer les étudiants Finlandais/Italiens/Allemands, c'était super enrichissant de découvrir d'autres cultures et d'autres façon de travailler. On a aussi eu la chance de faire beaucoup de visites (Milan, Lac de Come, Ferrero, Barolo,etc). Bref, ce voyage était un parfait mélange de travail, de visites et de rencontres », résume Romain Otte. 

Le programme BIP 2023 en quelques chiffres

5

universités partenaires dans le projet

6

Professeurs de ces différentes universités impliqués dans le programme (dont le Prof. Pietro Zidda pour la FSESG)

36

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