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Bachelier en histoire

Votre bachelier démarre par une formation générale en Histoire et en Histoire de l’art et archéologie. Vous découvrez les différentes périodes de l’Histoire : Antiquité, Moyen Âge, Temps Modernes et Époque Contemporaine. 

Tout au long de votre formation, vous apprenez à maitriser les méthodes spécifiques au domaine historique (méthodes bibliographiques, critique historique, analyse de documents iconographiques, démarches de recherches…). 

Pour comprendre les documents du passé et du présent, vous développez votre connaissance de plusieurs langues étrangères anciennes (latin, grec) ou modernes (anglais, néerlandais, allemand…). 

Pour comprendre l’aventure humaine, vous êtes également formés à la philosophie, à la littérature, à l’histoire de l’art, mais aussi à la géographie humaine, à l’économie, aux sciences politiques et au droit. 

C’est en bloc 3 que vous vous spécialisez dans l’une des grandes périodes de l’Histoire. Vous sélectionnez la filière de votre choix parmi les périodes antique, médiévale, moderne ou contemporaine. 

Histoire études

Vous partez sur de bonnes bases

  • vous êtes passionnés par les phénomènes du passé et leur implication dans le présent ; 
  • vous êtes de nature imaginative pour trouver les documents dans lesquels l’information se cache ; 
  • vous vous exprimez avec rigueur et précision, oralement et par écrit ; 
  • vous avez l’esprit critique et d’analyse pour comprendre les documents et les interpréter. 

Méthodes d’enseignement

Lettres études

Cours, travaux pratiques, séminaires, travaux de groupe… tout est mis en œuvre pour que vous appreniez à analyser et exploiter les documents écrits ou iconographiques, les témoignages oraux et les objets que nous ont laissés nos ancêtres. 

Les cours techniques 

Les cours techniques (heuristique, bibliographie, paléographie…) comprennent toujours un volet pratique : vous mesurez donc constamment votre compréhension de la matière et la qualité de votre méthode d’étude. Des contacts individuels avec les enseignants et assistants vous permettent d’exposer vos difficultés. 

L’initiation à la recherche en histoire 

Dès le début du bachelier, vous êtes formés à la méthodologie de la recherche en histoire. 

Comment expliquer, expertiser et exploiter les documents écrits, les sources audiovisuelles, les paysages transformés par le travail de l’homme ? Comment trouver des études ou de la documentation originale sur un sujet ?… 

Tout au long de l’année, vous appliquez ces techniques de recherche à des questions inédites. Vous clôturez cette initiation à la recherche par la rédaction d’un travail scientifique, ce qui implique notamment l’usage des outils informatiques. 

L’art de communiquer 

Au terme de leurs recherches, les historiens doivent partager et communiquer leurs résultats. Vous êtes donc formés à l’art de communiquer oralement et par écrit, en montant une exposition ou en réalisant un documentaire vidéo, selon le public auquel vous vous adressez. 

Les langues 

Pour comprendre les traces du passé et les travaux des historiens modernes, vous suivez un cours de latin (obligatoire) et une seconde langue (au choix). Au-delà de la première année, le choix de deux langues est généralement libre, mais il peut être conditionné par le choix d’une filière (Antiquité, Moyen Âge, Temps Modernes, Époque Contemporaine). Tout au long de l’année, les cours de langues sont accompagnés de tests réguliers. 

Aides à la réussite

Réussir une année d’études à l’université implique de nombreux défis. 

Pour vous aider à les relever, l’UNamur vous accompagne dans le développement de vos compétences disciplinaires, méthodologiques, humaines… avec le soutien de nombreux professionnels. 

Cours préparatoires, aide individualisée…  

Découvrez les dispositifs mis en place pour votre formation. 

Après le bachelier : le master

Le bachelier en histoire donne accès automatiquement, en Communauté française, au master en histoire. 

Au cours de ce deuxième cycle, vous optez pour un master qui vous prépare plus spécifiquement à l’enseignement (master en enseignement), à la recherche (finalité approfondie) ou à une autre spécialisation professionnelle, telle que l’archivistique, la bibliothéconomie, la communication (finalité spécialisée). 

Les objectifs du master en histoire sont l’approfondissement de la méthodologie et de la critique dans le repérage et la mise en œuvre de l’information, et leur application à une période (Antiquité, Moyen Âge, Temps Modernes, Époque Contemporaine) ou à un domaine de l’histoire, en vue d’aboutir à une synthèse personnelle sur un sujet déterminé (mémoire de master). 

Vous pouvez, si vous le souhaitez, compléter votre formation à l’UNamur en vous inscrivant à la formation de bachelier en Histoire de l’art et archéologie pour lequel vous bénéficierez de nombreuses dispenses (dont l’ensemble des cours de premier bloc, communs à la formation d’Histoire de l’art et d’Histoire) vous permettant, moyennant l’ajout de cours d’Histoire de l’art à votre programme d’Histoire de deuxième et de troisième année, de décrocher ce second diplôme en une année académique supplémentaire

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Les métiers des historiens

Professions pour lesquelles le diplôme de master en histoire est requis 

La gestion du patrimoine 

  • attaché scientifique (ou titre équivalent) dans certaines institutions telles que le Musée de l’Armée, le Musée d’Histoire de l’Afrique à Tervuren, les Musées royaux d’Art et d’Histoire, la Bibliothèque royale… 
  • archiviste, conservateur : il y a, en Belgique, de nombreux dépôts d’archives de l’État et un certain nombre de centres d’archives privés qui recrutent régulièrement des diplômés en Histoire. 

L’enseignement 

La recherche 

  • enseignant et chercheur à l’Université ou au Fonds National de la Recherche Scientifique (ou équivalents à l’étranger). Un titre de docteur en Histoire est requis pour accéder au poste de professeur à l’Université. 

Autres perspectives professionnelles

Nombre de diplômés en histoire exercent soit des professions en rapport direct avec l’enseignement reçu, soit des professions auxquelles leurs études ne les préparaient pas directement, mais pour lesquelles la formation en histoire s’avère pertinente : 

Le secteur du livre et de la documentation 

  • bibliothèques, librairies, maisons d’édition traditionnelles et multimédia ; 
  • centres de documentation. 

Le monde de la communication 

  • journalisme (presse écrite, radiophonique ou télévisée) ; 
  • métier de guide-conférencier (institutions publiques, a.s.b.l. ou fondations à vocation culturelle ou touristique) ; 
  • à la demande d’organismes publics ou d’entreprises privées : réalisation d’expositions, de commémorations, de publications… 

La fonction publique 

  • des historiens sont engagés dans les Services fédéraux, communautaires, régionaux, provinciaux ou locaux : aménagement urbain, culture, relations internationales…  

Les entreprises du secteur marchand et non marchand 

  • comme responsables de services documentaires ou titulaires d’autres fonctions, des historiens sont employés dans des domaines tels que l’assurance, la banque, les ONG… 

Les formations complémentaires — notamment en informatique ou en langues — ouvrent plus largement l’éventail des professions accessibles. L’expérience montre que la formation de base en histoire permet de mener ces études complémentaires avec fruit et que les titulaires de ces diplômes complémentaires trouvent facilement du travail. 

Un coup d’œil sur quelques anciens…

L’enseignement 

  • Sarah, professeure d’Histoire et de Pédagogie à l’École Normale Catholique du Brabant Wallon à Louvain-la-Neuve. 
  • Alizée, professeure d’Histoire à l’Institut de la Providence de Champion. 

La gestion du patrimoine 

  • Marie-Françoise, responsable du « Service du Patrimoine Culturel » de la Province de Namur : monuments et sites classés, paysages… 
  • Emmanuel, responsable des Archives de l’État à Namur : chartes médiévales, archives judiciaires, cartes et plans… 
  • Marie, responsable du service des Archives médicales du Centre Hospitalier de Wallonie Picarde (CHwapi) à Tournai. 

Le monde de la communication 

  • Lionelle, jounaliste à la RTBF. 
  • Sophie, chargée de projets internet au sein de la cellule communication du BEP — Bureau économique de la Province de Namur (gestion de projets, community management, rédaction de contenus en ligne, etc.) 

La fonction publique 

  • Jean-François, attaché au Service d’études du Forem. 
  • Jérémy, attaché en ressources humaines (analyste RH) à Fedasil (Agence fédérale pour l’accueil des demandeurs d’asile). 

La recherche et l’édition scientifique 

  • Cédric, rédacteur en chef du Courrier hebdomadaire du Centre de recherche et d’information socio-politiques (CRISP). 
  • Charlotte, assistante à la section des Manuscrits de la Bibliothèque royale de Belgique à Bruxelles. 

Le secteur du livre et de la documentation 

  • Anouk, libraire à Namur, spécialisée en littérature et en sciences humaines. 
  • Sébastien, bibliothécaire dirigeant de la « Bibliothèque Jean de La Fontaine » à Ath et responsable pédagogique de la mise en œuvre de l’informatique dans les écoles communales. 
  • Thierry, attaché bibliothécaire — gestionnaire d’informations au sein du Commissariat général aux réfugiés et apatrides (SPF Intérieur). 

Le tourisme 

  • Julie, responsable des guidages, des événements et des recherches historiques à la citadelle de Dinant. 
  • Virginie, formatrice en tourisme dans un organisme d’insertion socioprofessionnelle (Alternatives Formations) et animatrice et organisatrice d’événements socioculturels. 

Les entreprises du secteur marchand et non marchand 

  • François-Xavier, gestionnaire Prospection Multirésidentiel et Unifamilial chez Thomas & Piron.