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Joli succès des chercheurs namurois lors de l’appel « Bourses et Mandats » 2024 du F.R.S.-FNRS

Institution

Le F.R.S.-FNRS a publié ce 25 juin 2024, la liste des lauréats aux différents mandats doctorants et postdoctorants. Parmi ceux-ci, 16 chercheurs de l'Université de Namur ont obtenu des financements.

Chercheur et logo FNRS

Mandats d'aspirants

Huit chercheurs ont obtenu un mandat d’aspirant permettant de démarrer une recherche doctorale : 

  • Ilario AMATO, Dorian HÈNE, Violaine PIENGEON et Camille PONSARD de la Faculté des sciences, 
  • Hadrien COUSIN de la Faculté de philosophie et lettres, 
  • Aline NARDI de la Faculté de droit
  • Angela LÜLLE et Elena PEREZ VELASCO de la Faculté des sciences économiques, sociales et de gestion. 

Le taux de succès de nos chercheurs doctorants est de 30% ! 

Mandats postdoctoraux de chargés de recherche

Au niveau des chercheurs postdoctorants, l’UNamur est fière d’accueillir huit nouveaux chargés de recherche pour un mandat de 3 ans (taux de succès : 30%).

Il s'agit de 

  • Andrea BONVICINI, Damien DETRAUX et Louise THINES de la Faculté des Sciences
  • Hannah DE CORTE, Angela COSSU, Silverio FRANZONI et Mounir HABACHY de la Faculté de Philosophie et Lettres
  • Juliette CRESPIN BOUCAUD de la Faculté des Sciences Economiques et Sciences de Gestion.

Par ailleurs, Monsieur Vincent LIEGEOIS a obtenu une promotion au titre de « Maître de recherches ».

Appel Télévie

L’appel Télévie a permis au professeur Carine MICHIELS d’obtenir un financement pour approfondir des recherches visant à améliorer l’approche radiothérapeutique en vue d’induire une immunité anti-tumorale systémique après une irradiation locale.

Logo du Télévie - un coeur rouge

Subside pour publications scientifiques

Signalons également l’obtention d’un subside pour publications scientifiques (périodiques), l’un pour Benoît CHAMPAGNE et le second pour Carolin MAYER. 

Félicitations à eux !

3 étudiants de « latin-français » font le buzz sur Instagram

Étudiants
Langues et littératures classiques

Ils ont 20 ans et sont en BAC 3 latin-français à l’Université de Namur. Depuis le mois de novembre dernier, ils font parler d’eux via les comptes Instagram et Facebook qu’ils ont créés. Chaque semaine, ils y vulgarisent le latin et tentent de faire mieux connaitre cette langue que l’on qualifie trop souvent de « morte ».

3 étudiants en bac3 de latin-français font le buzz sur instagram

Portrait - Thibaut De Meyer : Multiplier les perspectives, par-delà les espèces

Philosophie
Portrait

Découvrez le parcours singulier de Thibaut De Meyer, un passionné d'anthropologie et de philosophie qui fusionne ces deux disciplines dans une approche concrète et innovante. De son exploration des interactions humaines en laboratoire à son analyse de la perspective chez les animaux, son travail révèle une fascination pour les nuances de la conscience et de la perception. En tant qu'académique et auteur, il s'engage à éclairer les étudiants sur les enjeux philosophiques contemporains, tout en projetant son regard vers de nouveaux horizons, tels que l’histoire et l’épistémologie du test du miroir.

Thibault De Meyer

Thibaut De Meyer a obtenu son Master en Anthropologie à l’ULB, tout en nourrissant une passion pour la philosophie. Il décida donc de poursuivre également un Master en Philosophie, cherchant constamment à établir des équilibres et des complémentarités entre ces deux domaines. Son approche s'est toujours orientée vers des situations concrètes, où les concepts sont appliqués, afin de demeurer au plus près des réalités étudiées par les ethnologues et les anthropologues. Il a systématiquement exploré la dimension conceptuelle dans les actions et les comportements humains.

Dans le cadre de son mémoire d’anthropologie (Des gens, des gènes et des généticiens), il s'est intéressé à l'ethnographie d'un laboratoire, examinant comment les humains interagissent avec les poches de sang et les transforment en cartes génétiques des patients. En philosophie (dans un mémoire intitulé L’écologie des monades), son intérêt s'est porté sur le concept de perspective chez Leibniz, un penseur moderne qui a explore la relation entre les perspectives immatérielles (qu’il appelle « monades ») et les entités matérielles (les corps). Par après, Thibault De Meyer s'est penché sur la question de la conscience chez les animaux, notamment en étudiant leur capacité à se reconnaître et à attribuer des états cognitifs à leurs congénères.

Récemment, Thibaut De Meyer a publié un ouvrage intitulé Qui a vu le zèbre ? L’invention de la perspective animale (éditeur : Les Liens qui Libèrent), dans lequel il aborde la question de la perspective à travers le cas des rayures du zèbre qui sont perçues différemment par les humains, les lions, les hyènes, les mouches… En prenant en compte cette multiplicité des perspectives, les biologistes en sont venus à remettre en cause certaines hypothèses cherchant à expliquer la fonction des zébrures. Grâce à une analyse philosophique de ces études scientifiques, Thibault De Meyer défend une forme de perspectivisme relationnel, qu’il distingue et compare entre autres au perspectivisme linéaire. Ce livre est issue de sa thèse de doctorat (Le bestiaire de Brunelleschi. Le perspectivisme et sa réinvention en éthologie) réalisée sous la direction de Vinciane Despret et défendue en septembre 2022 à l’Université de Liège. 

Depuis sa nomination en tant qu'académique en septembre dernier à l’UNamur, Thibaut De Meyer enseigne la philosophie des sciences et des techniques ainsi que la logique et l’argumentation. Dans le cours d’introduction générale à la philosophie, avec son collègue Nicolas Monseu, il tente de rendre la matière attrayante pour les étudiants grâce à des innovations pédagogiques, en créant des mini-spectacles, en apportant des blocs de Lego, etc. 

Quant à ses projets futurs, il prévoit de se pencher sur l’histoire du test du miroir, les défis qu'il pose et les problèmes qu'il permet de résoudre, notamment en tant que test psychologique non verbal. Comme il le souligne, « Le miroir est plein d’énigmes ». 

Des étudiants en histoire dévoilent l'évolution de l'image du loup

Étudiants
Histoire

Le loup, longtemps banni de nos contrées, a fait un retour remarqué en Wallonie depuis 2016. Cet être mystérieux, désormais protégé, suscite autant de fascination que de crainte. Du 11 au 27 avril 2024, l'exposition "Même pas peur ! Une évolution de l'image du loup à travers les siècles" convie les publics à plonger au cœur d’une exploration historique.

Élaborée par les étudiants et étudiantes de troisième année de bachelier en Histoire, l’exposition se tient dans le cadre du cours de Projet culturel. Sous la direction de la Professeure Isabelle Parmentier, elle est le fruit de deux collaborations.

En effet, les étudiants d’histoire ont bénéficié de l’expertise de Julie Duchêne, doctorante FRESH/FNRS au sein du PolleN et de l’Institut ILEE de l’UNamur. À travers une recherche interdisciplinaire et innovante, celle-ci a décidé de se pencher sur l’histoire du loup en Wallonie aux 18e et 19e siècles. En tant que commissaire scientifique du projet, Julie Duchêne apporte les aspects historique, paléogénétique et éthologique pour construire l’exposition.

Par ailleurs, les podcasts "Histoire(s) du grand méchant loup" de Céline Rase, chercheuse en histoire, ont servi de point de départ à la construction du fil rouge de l’exposition. En tant que source supplémentaire, les podcasts ont apporté une dimension narrative à l’exposition et ont offert une perspective sur l’évolution de l’image du loup dans l’histoire au fil du temps.

En conjuguant les données scientifiques de Julie Duchêne avec les récits évocateurs de Céline Rase, les étudiants ont créé un projet à la fois instructif et culturel. Cette exposition est conçue pour tous les publics. Des visites guidées animées par les étudiants et étudiantes seront proposées aux écoles, offrant une expérience éducative pour les jeunes générations.

Un des objectifs du projet est de permettre aux étudiants en histoire de pratiquer une communication du savoir scientifique via la médiation au grand public. C’est une manière de se plonger dans une forme plus professionnalisante de réalisation

Isabelle Parmentier Professeure en histoire et coordinatrice de l'exposition

« En tant qu'historien, notre travail se porte généralement sur le contenu. Ici, c'est différent. Nous nous occupons de toute l'organisation (…) et prenons aussi en charge les aspects liés à la communication de l’événement. Cette expérience donne une dimension plutôt professionnalisante des études en histoire et c'est très chouette. », partage Cécile Bourdon, étudiante en histoire. « La dimension pédagogique du projet est importante. Offrir des visites à des élèves de niveaux scolaires différents peut aider à nous familiariser à l’utilisation de la pédagogie et à développer des compétences en vulgarisation scientifique », ajoute Théo Di Pillo, autre étudiant participant au projet.

Découvrez, apprenez, émerveillez-vous !

L'exposition "Même pas peur" promet des découvertes inattendues à chaque tournant. A travers ce projet culturel, l’accent est mis sur l'importance de la recherche scientifique pour mieux comprendre le loup et son rôle dans notre écosystème.

Du 11 au 27 avril 2024 au Business and learning center.

Envie de soutenir les recherches sur le loup ?

Les recherches génétiques sur le loup menées par Julie Duchêne sont soutenues par une campagne de crowdfunding. Les analyses ADN ont effectivement un coût. Les fonds récoltés participeront à déterminer l’origine géographique de chacun des loups wallons conservés ainsi que leur sexe. L'intégralité des dons récoltés sera utilisée pour réaliser ces analyses génétiques.

Joli succès des chercheurs namurois lors de l’appel « Bourses et Mandats » 2024 du F.R.S.-FNRS

Institution

Le F.R.S.-FNRS a publié ce 25 juin 2024, la liste des lauréats aux différents mandats doctorants et postdoctorants. Parmi ceux-ci, 16 chercheurs de l'Université de Namur ont obtenu des financements.

Chercheur et logo FNRS

Mandats d'aspirants

Huit chercheurs ont obtenu un mandat d’aspirant permettant de démarrer une recherche doctorale : 

  • Ilario AMATO, Dorian HÈNE, Violaine PIENGEON et Camille PONSARD de la Faculté des sciences, 
  • Hadrien COUSIN de la Faculté de philosophie et lettres, 
  • Aline NARDI de la Faculté de droit
  • Angela LÜLLE et Elena PEREZ VELASCO de la Faculté des sciences économiques, sociales et de gestion. 

Le taux de succès de nos chercheurs doctorants est de 30% ! 

Mandats postdoctoraux de chargés de recherche

Au niveau des chercheurs postdoctorants, l’UNamur est fière d’accueillir huit nouveaux chargés de recherche pour un mandat de 3 ans (taux de succès : 30%).

Il s'agit de 

  • Andrea BONVICINI, Damien DETRAUX et Louise THINES de la Faculté des Sciences
  • Hannah DE CORTE, Angela COSSU, Silverio FRANZONI et Mounir HABACHY de la Faculté de Philosophie et Lettres
  • Juliette CRESPIN BOUCAUD de la Faculté des Sciences Economiques et Sciences de Gestion.

Par ailleurs, Monsieur Vincent LIEGEOIS a obtenu une promotion au titre de « Maître de recherches ».

Appel Télévie

L’appel Télévie a permis au professeur Carine MICHIELS d’obtenir un financement pour approfondir des recherches visant à améliorer l’approche radiothérapeutique en vue d’induire une immunité anti-tumorale systémique après une irradiation locale.

Logo du Télévie - un coeur rouge

Subside pour publications scientifiques

Signalons également l’obtention d’un subside pour publications scientifiques (périodiques), l’un pour Benoît CHAMPAGNE et le second pour Carolin MAYER. 

Félicitations à eux !

3 étudiants de « latin-français » font le buzz sur Instagram

Étudiants
Langues et littératures classiques

Ils ont 20 ans et sont en BAC 3 latin-français à l’Université de Namur. Depuis le mois de novembre dernier, ils font parler d’eux via les comptes Instagram et Facebook qu’ils ont créés. Chaque semaine, ils y vulgarisent le latin et tentent de faire mieux connaitre cette langue que l’on qualifie trop souvent de « morte ».

3 étudiants en bac3 de latin-français font le buzz sur instagram

Portrait - Thibaut De Meyer : Multiplier les perspectives, par-delà les espèces

Philosophie
Portrait

Découvrez le parcours singulier de Thibaut De Meyer, un passionné d'anthropologie et de philosophie qui fusionne ces deux disciplines dans une approche concrète et innovante. De son exploration des interactions humaines en laboratoire à son analyse de la perspective chez les animaux, son travail révèle une fascination pour les nuances de la conscience et de la perception. En tant qu'académique et auteur, il s'engage à éclairer les étudiants sur les enjeux philosophiques contemporains, tout en projetant son regard vers de nouveaux horizons, tels que l’histoire et l’épistémologie du test du miroir.

Thibault De Meyer

Thibaut De Meyer a obtenu son Master en Anthropologie à l’ULB, tout en nourrissant une passion pour la philosophie. Il décida donc de poursuivre également un Master en Philosophie, cherchant constamment à établir des équilibres et des complémentarités entre ces deux domaines. Son approche s'est toujours orientée vers des situations concrètes, où les concepts sont appliqués, afin de demeurer au plus près des réalités étudiées par les ethnologues et les anthropologues. Il a systématiquement exploré la dimension conceptuelle dans les actions et les comportements humains.

Dans le cadre de son mémoire d’anthropologie (Des gens, des gènes et des généticiens), il s'est intéressé à l'ethnographie d'un laboratoire, examinant comment les humains interagissent avec les poches de sang et les transforment en cartes génétiques des patients. En philosophie (dans un mémoire intitulé L’écologie des monades), son intérêt s'est porté sur le concept de perspective chez Leibniz, un penseur moderne qui a explore la relation entre les perspectives immatérielles (qu’il appelle « monades ») et les entités matérielles (les corps). Par après, Thibault De Meyer s'est penché sur la question de la conscience chez les animaux, notamment en étudiant leur capacité à se reconnaître et à attribuer des états cognitifs à leurs congénères.

Récemment, Thibaut De Meyer a publié un ouvrage intitulé Qui a vu le zèbre ? L’invention de la perspective animale (éditeur : Les Liens qui Libèrent), dans lequel il aborde la question de la perspective à travers le cas des rayures du zèbre qui sont perçues différemment par les humains, les lions, les hyènes, les mouches… En prenant en compte cette multiplicité des perspectives, les biologistes en sont venus à remettre en cause certaines hypothèses cherchant à expliquer la fonction des zébrures. Grâce à une analyse philosophique de ces études scientifiques, Thibault De Meyer défend une forme de perspectivisme relationnel, qu’il distingue et compare entre autres au perspectivisme linéaire. Ce livre est issue de sa thèse de doctorat (Le bestiaire de Brunelleschi. Le perspectivisme et sa réinvention en éthologie) réalisée sous la direction de Vinciane Despret et défendue en septembre 2022 à l’Université de Liège. 

Depuis sa nomination en tant qu'académique en septembre dernier à l’UNamur, Thibaut De Meyer enseigne la philosophie des sciences et des techniques ainsi que la logique et l’argumentation. Dans le cours d’introduction générale à la philosophie, avec son collègue Nicolas Monseu, il tente de rendre la matière attrayante pour les étudiants grâce à des innovations pédagogiques, en créant des mini-spectacles, en apportant des blocs de Lego, etc. 

Quant à ses projets futurs, il prévoit de se pencher sur l’histoire du test du miroir, les défis qu'il pose et les problèmes qu'il permet de résoudre, notamment en tant que test psychologique non verbal. Comme il le souligne, « Le miroir est plein d’énigmes ». 

Des étudiants en histoire dévoilent l'évolution de l'image du loup

Étudiants
Histoire

Le loup, longtemps banni de nos contrées, a fait un retour remarqué en Wallonie depuis 2016. Cet être mystérieux, désormais protégé, suscite autant de fascination que de crainte. Du 11 au 27 avril 2024, l'exposition "Même pas peur ! Une évolution de l'image du loup à travers les siècles" convie les publics à plonger au cœur d’une exploration historique.

Élaborée par les étudiants et étudiantes de troisième année de bachelier en Histoire, l’exposition se tient dans le cadre du cours de Projet culturel. Sous la direction de la Professeure Isabelle Parmentier, elle est le fruit de deux collaborations.

En effet, les étudiants d’histoire ont bénéficié de l’expertise de Julie Duchêne, doctorante FRESH/FNRS au sein du PolleN et de l’Institut ILEE de l’UNamur. À travers une recherche interdisciplinaire et innovante, celle-ci a décidé de se pencher sur l’histoire du loup en Wallonie aux 18e et 19e siècles. En tant que commissaire scientifique du projet, Julie Duchêne apporte les aspects historique, paléogénétique et éthologique pour construire l’exposition.

Par ailleurs, les podcasts "Histoire(s) du grand méchant loup" de Céline Rase, chercheuse en histoire, ont servi de point de départ à la construction du fil rouge de l’exposition. En tant que source supplémentaire, les podcasts ont apporté une dimension narrative à l’exposition et ont offert une perspective sur l’évolution de l’image du loup dans l’histoire au fil du temps.

En conjuguant les données scientifiques de Julie Duchêne avec les récits évocateurs de Céline Rase, les étudiants ont créé un projet à la fois instructif et culturel. Cette exposition est conçue pour tous les publics. Des visites guidées animées par les étudiants et étudiantes seront proposées aux écoles, offrant une expérience éducative pour les jeunes générations.

Un des objectifs du projet est de permettre aux étudiants en histoire de pratiquer une communication du savoir scientifique via la médiation au grand public. C’est une manière de se plonger dans une forme plus professionnalisante de réalisation

Isabelle Parmentier Professeure en histoire et coordinatrice de l'exposition

« En tant qu'historien, notre travail se porte généralement sur le contenu. Ici, c'est différent. Nous nous occupons de toute l'organisation (…) et prenons aussi en charge les aspects liés à la communication de l’événement. Cette expérience donne une dimension plutôt professionnalisante des études en histoire et c'est très chouette. », partage Cécile Bourdon, étudiante en histoire. « La dimension pédagogique du projet est importante. Offrir des visites à des élèves de niveaux scolaires différents peut aider à nous familiariser à l’utilisation de la pédagogie et à développer des compétences en vulgarisation scientifique », ajoute Théo Di Pillo, autre étudiant participant au projet.

Découvrez, apprenez, émerveillez-vous !

L'exposition "Même pas peur" promet des découvertes inattendues à chaque tournant. A travers ce projet culturel, l’accent est mis sur l'importance de la recherche scientifique pour mieux comprendre le loup et son rôle dans notre écosystème.

Du 11 au 27 avril 2024 au Business and learning center.

Envie de soutenir les recherches sur le loup ?

Les recherches génétiques sur le loup menées par Julie Duchêne sont soutenues par une campagne de crowdfunding. Les analyses ADN ont effectivement un coût. Les fonds récoltés participeront à déterminer l’origine géographique de chacun des loups wallons conservés ainsi que leur sexe. L'intégralité des dons récoltés sera utilisée pour réaliser ces analyses génétiques.

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Événements

28

Journée d’études et d’échanges IRDENA - Etudiants Engagés, Connaissances Vives : Le Nouveau Paradigme Éducatif

Congrès / Colloque / Conférence
Congrès / Colloque / Conférence
-
Faculté de philosophie et lettres Faculté des sciences

Journée d’études et d’échanges IRDENA - Etudiants Engagés, Connaissances Vives : Le Nouveau Paradigme Éducatif

28
09:00 - 17:00
Université de Namur - Faculté des sciences - 5000 Namur
Personne de contact :  Duvivier Sarah

Dans un monde en perpétuelle évolution, l’éducation ne cesse de se réinventer. Le 28 octobre 2024, IRDENA vous convie à une journée exceptionnelle dédiée à la redéfinition du paysage éducatif moderne. À travers des échanges riches et des interventions captivantes, "Étudiants Engagés, Connaissances Vives : Le Nouveau Paradigme Éducatif" se veut être un creuset d’innovations pédagogiques et d’engagement étudiant.

La matinée sera marquée par une conférence de Julien Berthaud, spécialiste de l’intégration sociale des étudiants, qui partagera ses apports sur comment cette intégration devient un véritable vecteur de réussite.

Ensuite, les communications scientifiques et les partages d’expériences enrichiront nos connaissances et susciteront des débats constructifs. Le déjeuner sera l’occasion de découvrir les projets innovants des étudiants, mis en lumière dans une exposition inspirante.

L’après-midi promet d’être tout aussi stimulante avec une table ronde modérée par Sabine Henry, où experts échangeront sur le service learning, l’entrepreneuriat éducatif et la spiritualité. Ce dialogue dynamique sera suivi d’une activité de clôture: la fresque de l’engagement, un brainstorming collectif qui posera les bases d’un jeu éducatif innovant.

Rejoignez-nous pour cette journée d’échanges et de réflexion, et contribuez à façonner le futur de l’éducation où l’engagement des étudiants et la vivacité des connaissances seront les pierres angulaires d’un nouveau paradigme éducatif.

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