Résultats de recherche

Organisé pour la première fois lors de l’année académique 2012-2013, ce master a été créé pour répondre à une pénurie d’experts biomédicaux dans les domaines de la recherche préclinique et de la recherche clinique. Aujourd’hui, les étudiants qui s’inscrivent dans ces programmes de l’UNamur bénéficient d’une formation en bachelier et master complète, diplômante et très recherchée.

Collyne Hérion et Clara Havelange, étudiantes en première année de pharmacie, ont remporté avec brio le concours « It’s not Rocket Science » organisé par le département des langues vivantes pendant la semaine du Printemps des Sciences. C’est sur le thème de l’osmose qu’elles ont réussi à convaincre le plus de monde. Dans le cadre du cours d’anglais, les étudiants devaient vulgariser des concepts scientifiques en réalisant une vidéo, à la manière de Jamy et Fred dans l’émission « C’est pas sorcier ». Pouvoir s’amuser et proposer une approche concrète dans l’apprentissage de l’anglais, c’était l’idée du projet. Interview.

Sensibiliser les futurs médecins à la thématique des violences conjugales, en particulier pendant la grossesse qui constitue une situation plus à risque : tel est le programme des prochains travaux pratiques de « communication professionnelle en santé » du cours de psychologie médicale, dispensé aux étudiants de BAC 3 de Médecine de l’UNamur. Cette sensibilisation se fait sous la forme d’un escape game « Oseras-tu poser la question », conçu par deux enseignantes sages-femmes du Département paramédical de l’Hénallux. Une initiative pédagogique unique et une collaboration inédite en Wallonie à destination des futurs médecins.

De leur propre initiative, cinq étudiantes en master du département de pharmacie de l’UNamur se sont glissées dans la peau de « Nounoursologue », dans le cadre de l’événement organisé par l’UCLouvain « La Clinique des Nounours ». Elles ont joué leur rôle de pharmaciennes en préconisant des traitements aux peluches des enfants, tout en expliquant la fonction de leur futur métier.

Organe le plus étendu et le plus lourd de notre corps humain, la peau est au centre des recherches du professeur Yves Poumay. Depuis près de 30 ans, au sein du laboratoire Cellules et Tissus (LabCeTi), il développe in vitro des modèles d’épiderme qui reproduisent des pathologies de la peau pour mieux les comprendre et les traiter. Une approche pionnière qui offre des alternatives à l’expérimentation animale ! À la veille d’un congrès international consacré aux recherches en dermatologie organisé à l’UNamur (lire par ailleurs), il évoque l’importance du dépistage du mélanome et détaille les dernières avancées en dermatologie réalisées au sein de son laboratoire.

L’un des soucis majeurs avec la maladie provoquée par le Covid-19 est son évolution grave, qui génère de nombreux problèmes pouvant entraîner une surcharge des hôpitaux. Détecter rapidement si une personne est à risque ou non de développer une forme sévère de la maladie est donc crucial pour optimaliser la prise en charge du patient et la gestion des ressources hospitalières. C’est l’un des objectifs de l’étude réalisée par QUALIblood, spin-off de l’UNamur, en collaboration avec le Département de pharmacie et de nombreux autres partenaires industriels et hospitaliers. Exploration d’une technologie de pointe au service de la santé.

A l’initiative du projet, deux chercheurs du Département de pharmacie : Romain Siriez et Constant Gillot. Sous la supervision du Professeur Jean-Michel Dogné, ils ont imaginé créer une vraie pharmacie, qui serait l’endroit idéal pour pratiquer une pédagogie innovante, indispensable à la formation des étudiants en master dans le cadre du cours de pharmacothérapie spécialisée.

Du 13 au 17 mars, le cercle Médecine organise une semaine de sensibilisation aux addictions et à la consommation d’alcool. Diverses activités sont proposées. Les organisateurs souhaitent conscientiser certains étudiants sur leur consommation.