Une bourse ERC Consolidator pour le projet B-YOND de Guillaume Berionni
L’ERC CoG, instrument de financement du Conseil Européen de la Recherche (ERC), permet à des scientifiques exceptionnels de mettre en œuvre des concepts novateurs sur une période de cinq ans et renforce ainsi le paysage Européen de la recherche. Le projet B-YOND s’intéressera à la modification des propriétés d’éléments chimiques en vue d’amorcer la création d’une nouvelle génération de catalyseurs plus durables et plus accessibles.
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S’inspirer de la nature pour innover
Le Prof Olivier Deparis et le Dr Sébastien Mouchet (Université de Namur, Institut NISM, Département de physique) publient un livre sur le thème de l’optique physique et de la biologie environnementale. Sur les traces des recherches du Prof Jean-Pol Vigneron, ce livre, avant-gardiste selon l’éditeur, ouvre la porte aux applications bio-inspirées dans le monde de l’optique, de l’énergie et de l’environnement. Explications.
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TINALTA : Développement d’un revêtement innovant
Des chercheurs de l’UNamur, en collaboration avec la spin-off Innovative Coating Solutions (ICS) viennent de déposer un brevet pour un revêtement totalement innovant. Ce projet a bénéficié du soutien du programme Win²Wal du SPW Recherche.
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QUALIblood, une spin-off au service de la médecine de demain
L’un des soucis majeurs avec la maladie provoquée par le Covid-19 est son évolution grave, qui génère de nombreux problèmes pouvant entraîner une surcharge des hôpitaux. Détecter rapidement si une personne est à risque ou non de développer une forme sévère de la maladie est donc crucial pour optimaliser la prise en charge du patient et la gestion des ressources hospitalières. C’est l’un des objectifs de l’étude réalisée par QUALIblood, spin-off de l’UNamur, en collaboration avec le Département de pharmacie et de nombreux autres partenaires industriels et hospitaliers. Exploration d’une technologie de pointe au service de la santé.
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De nouveaux indices pour percer l’armure de Brucella
Une équipe de chercheurs en microbiologie de l’UNamur vient de publier dans la revue Nature Communications. Le travail porte sur la bactérie Brucella à l’origine de la Brucellose, une maladie qui infecte le bétail et peut se transmettre à l’homme. Cette recherche vise à mieux comprendre les mécanismes moléculaires de croissance de la bactérie afin de mieux la combattre. Explications.
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Comprendre la migration des cellules pour lutter contre le cancer
Lorsqu’une tumeur se développe au sein d’un organisme, il arrive très fréquemment que les cellules cancéreuses quittent cette tumeur et s’installent dans un autre organe où elles y prolifèrent, créant ainsi ce qu’on appelle des métastases. Ce processus est un facteur important de mortalité puisqu’il signifie l’aggravation de la maladie. D’où l’intérêt de mieux comprendre ce qu’il se passe au cours de ce phénomène. C’est ce qu’a fait l’équipe multidisciplinaire de Carine Michiels, chercheuse au sein de l’Institut NARILIS de l’UNamur, et de Davide Bonifazi, chercheur à l’Université de Vienne, dans le cadre du projet de recherche PACMAN financé par le FNRS. Les résultats de cette étude sont publiés dans la revue Neoplasia.
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Une publication sur l'optique non linéaire
Une équipe internationale de chercheurs, dont le professeur Benoît Champagne de l’UNamur, vient de publier dans la prestigieuse revue «Accounts of Chemical Research» (ACS). Ils ont pu démontrer le rôle des fluctuations dynamiques de la structure des molécules sur leurs propriétés optiques. Cet aspect de la dynamique est novateur car les études précédentes se limitent à des structures rigides.
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Publication sur l'observation de la lumière dans Nature Communications
Qu’est qu’un fluide parfait ? C’est un modèle théorique de fluide qui permet de supposer que le fluide n’est pas visqueux, qu’il ne conduit pas de chaleur, qu’il est incompressible et ne crée pas de tourbillons. C’est donc une approximation de la réalité qui permet de simplifier les prédictions théoriques des écoulements des fluides. Pour la première fois, une équipe internationale a mis expérimentalement en évidence ce même comportement pour de la lumière plongée dans un milieu de faible indice de réfraction.
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Yves Poumay, chercheur sur les pathologies de la peau
Organe le plus étendu et le plus lourd de notre corps humain, la peau est au centre des recherches du professeur Yves Poumay. Depuis près de 30 ans, au sein du laboratoire Cellules et Tissus (LabCeTi), il développe in vitro des modèles d’épiderme qui reproduisent des pathologies de la peau pour mieux les comprendre et les traiter. Une approche pionnière qui offre des alternatives à l’expérimentation animale ! À la veille d’un congrès international consacré aux recherches en dermatologie organisé à l’UNamur (lire par ailleurs), il évoque l’importance du dépistage du mélanome et détaille les dernières avancées en dermatologie réalisées au sein de son laboratoire.
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Michaël Lobet, le physicien de l’invisible qui fait twister la lumière
Partons à la découverte des chercheurs qualifiés de l’UNamur, lauréats des financements octroyés par le FNRS en 2022. Aujourd’hui, rencontre avec Michaël Lobet, actuellement chargé de cours à l’UNamur, qui débutera son nouveau mandat de chercheur qualifié FNRS au sein de l’Institut NISM à la rentrée prochaine. Le sujet de sa recherche : l’optique twistée pour la manipulation de photons lents ou comment réaliser des pièges à lumière. Explications.
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Carine Michiels reçoit le prix Bacq et Alexander de l’ERRS
Depuis 1996, l'European Radiation Research Society (ERRS) décerne chaque année le prix Bacq et Alexander à un chercheur européen exceptionnel pour récompenser les réalisations du lauréat dans le domaine de la recherche sur les rayonnements. Cette année, le prix a été décerné à la Professeure Carine Michiels, de l'Université de Namur.
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Lysosome : du transport de protéines au remodelage osseux
Le lysosome, petit organite intracellulaire, est souvent représenté comme l’estomac de la cellule dû à son acidité et à la présence de nombreuses enzymes de digestion en son sein. Son rôle ? La dégradation de très nombreuses molécules et leur recyclage pour construire de nouvelles molécules et alimenter la production d’énergie dans les cellules. Depuis 2003, Marielle Boonen s’intéresse tout particulièrement au lysosome. Accompagnée de chercheurs de l’UNamur, elle a mis en évidence le rôle d’une enzyme lysosomale appelée HYAL1 dans le processus de remodelage osseux.
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