Système d'évaluation

Conformément au guide des utilisateurs ECTS 2015, l’Université de Namur publie les tableaux ECTS qui comprennent la distribution statistique des notes obtenues par un groupe homogène d’étudiants. La distinction entre les différents groupes d’étudiants est effectuée sur base du domaine ISCED des études. L’Université de Namur a opté pour une approche à un chiffre (ISCED « fields of studies ») à quelques exceptions près. Au sein de chaque domaine d’étude, les notes sont présentées par cycle (premier et deuxième) et d’une manière cumulée et ce, en raison du fait que pour certains programmes de deuxième cycle, le nombre d’étudiants est restreint.

Les tableaux ECTS comportent les informations suivantes :

Pour chaque note, selon le système de notation belge, le pourcentage de notes obtenues par les étudiants dans une période donnée (en général 3 ans).

Pour chaque note, le pourcentage de notes obtenues par les étudiants dans une période donnée.

Pour chaque note, une correspondance avec l’échelle ECTS définie selon la distribution ci-dessous :

• La note A correspond à la note obtenue par les meilleurs 10% des étudiants,
• La note B correspond à la note obtenue par les 25 % étudiants suivants,
• La note C correspond à la note obtenue par les 30 % étudiants suivants,
• La note D correspond à la note obtenue par les 25% d’étudiants suivants,
• La note E correspond à la note obtenue par les 10% d’étudiants restants.

L’échelle ECTS est utilisée seulement comme référence pour la conversation des notes obtenues au sein des institutions qui n’ont pas encore adopté les grilles de distribution en pourcentage des notes.

Il est important de noter que l’échelle ECTS permet la conversation des notes parmi les universités au sein de l’Espace européen d’enseignement supérieur qui ont adopté la même échelle ECTS. Celle-ci est bien évidemment différente des systèmes d’évaluation qui utilisent des lettres de l’alphabet.

Des méthodes et des mécanismes de conversion spécifique existent entre les universités en dehors de l’Espace européen de l’enseignement supérieur. Souvent, ces types de mécanismes sont discutés sur base bilatérale lors de la signature des accords d’échange bilatéraux.