NaDI-CeRCLe
Bienvenue au NaDI-CeRCLe, le centre de recherche en Marketing et Service Management de l’UNamur. Créé en 2005 au sein de la Faculté Economie Management Communication sciencesPo (EMCP), le NaDI-CeRCLe rassemble une équipe dynamique d'enseignants, de chercheurs, de doctorants et de praticiens. Depuis 2018, le NaDI-CeRCLe est fier d'être un partenaire fondateur du Namur Digital Institute (NaDI), faisant avancer la recherche de pointe et la collaboration à l'ère numérique.
Voir le contenu
Domaines de recherche
Notre société vit une révolution numérique qui a des conséquences sur son organisation, ses pratiques, et même ses valeurs. La plupart des secteurs de notre société sont concernés par cette révolution, que ce soit la santé, le gouvernement, et les services et l’économie collaborative. La résolution de ces défis nécessite une approche pluridisciplinaire permettant le dialogue entre experts technologiques, scientifiques, mais aussi sociétaux, éthiques, juridiques et économiques. Le centre de recherche NaDI a pour mission de fédérer tous les chercheurs de l'UNamur travaillant sur les défis suivants dans 7 domaines de recherche.
Voir le contenu
Centres de recherche
S'appuyant sur une tradition de recherche en informatique à l'Université de Namur, NaDI fédère six centres de recherche axés sur différents aspects de la société numérique.
Voir le contenu
Contact et organisation
Contacts
Co-President
Bruno Dumas
bruno.dumas@unamur.be
Co-President
Alexandre de Streel
alexandre.destreel@unamur.be
Organisation
Découvrir les membres
Voir le contenu
Big data et intelligence artificielle
NaDI offre une vaste expertise en intelligence artificielle : robotique bio-inspirée, apprentissage automatique robuste, interactif, interprétable et sûr, vérification automatique de programmes, programmation déclarative, intelligence économique, représentation des connaissances et tests automatiques de logiciels. Cela a déjà conduit à de nombreuses collaborations avec des experts médicaux, des industries et la société civile. Avec d'autres domaines d'expertise de NaDI, les experts en IA explorent également les implications éducatives, éthiques, sociétales et juridiques de l'IA.
Voir le contenu
CERTAINTY | Un jumeau virtuel d’immunothérapie cellulaire pour un traitement personnalisé du cancer
L'Université de Namur s'engage dans le projet européen CERTAINTY, une initiative dirigée par l'Institut allemand Fraunhofer visant à explorer de nouvelles pistes dans le traitement des cancers. Lancé en décembre 2023, ce consortium européen est financé par l'Union européenne - programme Horizon Europe - à hauteur de près de 10 millions d'euros sur les 4,5 prochaines années.
Voir le contenu
Projet de recherche-action NHNAI
NHNAI - New Humanism at the time of Neurosciences and Artificial Intelligence
Voir le contenu
Activités
Colloques
14/11/2024 | L'émergence de la conscienceColloque interdisciplinaire organisé par ESPHIN (Espace Philosophique de l’UNamur), avec la collaboration du Centre Universitaire Notre-Dame de la Paix (cUNDP), du Louvain Institute of Biomolecular Science and Technology, et de Louvai4evolution (UCLouvain).Ce colloque gratuit s'adresse :Aux spécialistes, étudiants ou doctorants de différentes disciplines : neurosciences, biologie, anthropologie, médecine, psychologie, philosophie, éthique, informatique, robotique, mathématiques, …Aux personnes passionnées d'interdisciplinarité ;Aux humanistes et aux curieux.Lieu : Faculté de philosophie et lettres, rue Grafé 1, Local L22En savoir plus
Séminaires "écologie du vivant"
Un constat s’impose à qui est attentif aux chemins empruntés par un nombre grandissant de penseurs du 21ème siècle : ces chemins mènent aux vivants ! Qu’elle soit nommée « écophilosophie », « écoanthropologie », « écosophie », ou encore « écopolitique », cette pensée du vivant occupe une place grandissante non seulement dans les médias et les publications de toutes sortes, mais aussi dans les actions concrètes sur des terrains variés.Phénomène de mode ? Courant éphémère ? Effet collatéral du « transitionnisme » teinté de catastrophisme ambiant ? Nouvelle tentative de fronde écologique ? Que penser de cette pensée du vivant ?Les séminaires auquel nous vous invitons se veulent être un espace de rencontres – un écosystème – au cœur duquel nous ferons résonner des textes fondateurs de ce courant qui intègre nature, environnement, milieu, humain et non-humain, et qui enjambe les dualismes usés de notre tradition moderne. En d’autres mots, nous vous proposons de lire ensemble certains textes-clés d’auteurs qui ont tenté de tirer des leçons de leurs rencontres authentiques avec d’autres vivants.Programme 2024-2025 | Aux racines de l'HumainLe 13 décembre 2024 de 14h00 à 16h00 (intervention, discussions et moment convivial). Quentin HIERNAUX introduira la philosophie du végétal et nous parlera du "Tableau physique des Andes" de Humboldt et de sa géographie équinoxiale des plantes.Le 28 février 2025 de 14h00 à 16h00 (intervention, discussions et moment convivial), Jean-Baptiste VUILLEROD abordera la thématique suivante: Naturphilosophie du végétal : Goethe, Schelling, Humboldt.Le 11 avril 2025 de 14h00 à 16h00 (intervention, discussions et moment convivial), Roland CAZALIS nous partagera son point de vue de biologiste sur le monde végétal.Pour introduire le sujetSi nous faisions le bilan de l’histoire de l’humanité, une tendance ressortirait certainement : celle d’un rapport utilitaire au non humain ne cessant de s’accentuer, et par suite celle d’un fossé se creusant entre l’humain et le reste.L’humanité plonge pourtant ses racines dans un milieu vivant qui cultive bien d’autres relations que celles que nous privilégions actuellement et qui sont dominées par la rationalité instrumentale. Sonder ces univers relationnels oubliés sans lesquels il est de plus en plus difficile de penser l’humain est un objectif de ce séminaire qui, cette année, vous invitera à rencontrer le végétal.Nous avons l’an dernier porté notre attention à la dimension communautaire du vivant en partant de l’œuvre d’Aldo Leopold. Le forestier américain nous interpellait notamment avec ce questionnement duquel nous ne devrions jamais nous éloigner : « qu’aimons-nous et qui aimons-nous au juste ? ». Sa réponse, au milieu du siècle dernier, confirmait déjà la tendance évoquée ci-dessus : « Certainement pas les sols, que nous laissons se faire charrier vers les estuaires. Certainement pas les eaux, dont nous supposons qu’elles n’ont d’autres fonctions que d’actionner des turbines, porter des chalands et emporter des ordures. Certainement pas les plantes, dont nous exterminons des communautés entières sans un battement de paupière. Certainement pas les animaux, dont nous avons déjà extirpé beaucoup des plus grandes et des plus magnifiques espèces. ». Face à ce manque de considération vis-à-vis de ce qui n’est pas nous, l’éthique de la terre proposée par Léopold « modifie le rôle d’homo sapiens, qui, de conquérant de la terre-communauté, en devient membre à part entière et citoyen ». Il s’agit donc d’une éthique qui « implique le respect pour les autres membres ainsi que pour la communauté en tant que telle », et « l’homme n’est en définitive qu’un membre d’une équipe biotique » (« L’éthique de la terre », dans Almanach d'un comté des sables).Pour nous aider à retrouver ce sens communautaire vital, nous nous tournerons cette année vers les modes de vie du végétal : ces vivants qui entretiennent des relations intimes avec la lumière, l’air, l’eau et tout ce que nous nommons « sol ». Comment nous laisser instruire par les végétaux sans lesquels nous ne pourrions exister ? « En rendant possible le monde dont elles sont partie et contenu, les plantes détruisent la hiérarchie topologique qui semble régner dans le cosmos. Elles démontrent que la vie est une rupture de l’asymétrie entre contenant et contenu. Lorsqu’il y a de la vie, poursuit le philosophe Emanuele Coccia, le contenant gît dans le contenu (et est donc contenu par lui) et vice versa. Le paradigme de cette imbrication réciproque est ce que les Anciens déjà appelaient souffle (pneuma). Souffler, respirer, signifie en effet faire cette expérience : ce qui nous contient, l’air, devient contenu en nous et, à l’inverse, ce qui était contenu en nous devient ce qui nous contient. » (La vie des plantes).Le Tableau Physique (1807) d'Alexander von Humboldt :
Voir le contenu
Membres
Membres du bureau
Président : Laurent RavezVice-président : Louis CarréReprésentante du Département philosophie : Laura RizzerioReprésentant du Département sciences-philosophies-sociétés : Geoffroy de BrabanterReprésentant des membres associés : Bertrand HespelSecrétariat: Vénonique OroseGestionnaire du site Web: Nathanaël Laurent
Voir tous les membres
Voir le contenu
Nos membres
Découvrez les membres internes et les membres associés de NaDI-CeRCLe.
Voir le contenu
Défense de thèse publique en informatique - Manel Barkallah
Synopsis
The spreading of internet-based technologies since the mid-90s has led to a paradigm shift from monolithic centralized information systems to distributed information systems based upon the composition of software components, interacting with each other and of heterogeneous natures. The popularity of these systems is nowadays such that our everyday life is touched by them.Classically concurrent and distributed systems are coded by using the message passing paradigm-according to which components exchange information by sending and receiving messages. In the aim of clearly separating computational and interactional aspects of computations, Gelernter and Carriero have proposed an alternative framework in which components interact through the availability of information placed on a shared space. Their framework has been concretized in a language called Linda. A series of languages, referred to nowadays as coordination languages, have been developed afterwards. In addition to providing a more declarative framework, such languages nicely fit applications like Facebook, LinkedIn and Twitter, in which users share information by adding it or consulting it in a common place. Such systems are in fact particular cases of so-called socio-technical systems in which humans interact with machines and their environments through complex dependencies. As coordination languages nicely meet social networks, the question naturally arises whether they can also nicely code socio-technical systems. However, answering this question first requires to see how well programs written in coordination languages can reflect what they are assumed to model.This thesis aims at addressing these two questions. To that end, we shall use the Bach coordination language developed at the University of Namur as a representative of Linda-like languages. We shall extend it in a language named Multi-Bach to be able to code and reason on socio-technical systems. We will also introduce a workbench Anemone to support the modelling of such systems. Finally, we will evidence the interest of our approach through the coding of several social-technical systems.
The Jury
Prof. Wim Vanhoof - University of Namur, BelgiumProf. Jean-Marie Jacquet - University of Namur, BelgiumProf. Katrien Beuls - University of Namur, BelgiumProf. Pierre-Yves Schobbens - University of Namur, BelgiumProf. Laura Bocchi - University of Kent, United KingdomProf. Stefano Mariani - UNIMORE University, Italy
Participation upon registration.
Register here
Voir le contenu
Défense de thèse de doctorat - Sereysethy Touch
SynopsisA honeypot is a security tool deliberately designed to be vulnerable, thereby enticing attackers to probe, exploit, and compromise it. Since their introduction in the early 1990s, honeypots have remained among the most widely used tools for capturing cyberattacks, complementing traditional defenses such as firewalls and intrusion detection systems. They serve both as early warning systems and as sources of valuable attack data, enabling security professionals to study the techniques and behaviors of threat actors.While conventional honeypots have achieved significant success, they remain deterministic in their responses to attacks. This is where adaptive or intelligent honeypots come into play. An adaptive honeypot leverages Machine Learning techniques, such as Reinforcement Learning, to interact with attackers. These systems learn to take actions that can disrupt the normal execution flow of an attack, potentially forcing attackers to alter their techniques. As a result, attackers must find alternative routes or tools to achieve their objectives, ultimately leading to the collection of more attack data.Despite their advantages, traditional honeypots face two main challenges. First, emulation-based honeypots (also known as low- and medium-interaction honeypots) are increasingly susceptible to detection, which undermines their effectiveness in collecting meaningful attack data. Second, real-system-based honeypots (also known as high-interaction honeypots) pose security risks to the hosting organization if not properly isolated and protected. Since adaptive honeypots rely on the same underlying systems, they also inherit these challenges.This thesis investigates whether it is possible to design a honeypot system that mitigates these challenges while still fulfilling its primary objective of collecting attack data. To this end, it proposes a new abstract model for adaptive self-guarded honeypots, designed to balance attack data collection, detection evasion, and security preservation, ensuring that it does not pose a risk to the rest of the network.Membres du juryProf. Wim VANHOOF, Président, Université de NamurProf. Jean-Noël COLIN, Promoteur, Université de NamurProf. Florentin ROCHET, Membre interne, Université de NamurProf. Benoît FRENAY, Membre interne, Université de NamurProf. Ramin SADRE, Membre externe, Université catholique de Louvain Dr. Jérôme FRANCOIS, Membre externe, Université du LuxembourgVous êtes cordialement invités à un drink, qui suivra la soutenance publique. Pour une bonne organisation, merci de donner votre réponse pour le mardi 20 mai 2025.
Je m'inscris
Voir le contenu