Institut de recherche

Espace philosophique de Namur

Espace transdisciplinaire ouvert sur l’extérieur et destiné à susciter des recherches inédites, ESPHIN aborde des thématiques développées dans ses deux départements fondateurs : celui de Philosophie en Faculté de philosophie et lettres et celui de Sciences-Philosophies-Sociétés en Faculté des sciences. 

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Patrimoines, transmissions, héritages

L’institut Patrimoines, Transmissions, Héritages (PaTHs) est une fédération de centres et de groupes de recherche qui ont vu le jour dans et autour de la Faculté de philosophie et lettres depuis quelques années. 

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Les reliures en parchemin sous la loupe

Restaurer correctement un ouvrage ancien implique idéalement de connaître les secrets de sa confection et les raisons de sa dégradation. Grâce au Fonds Jean-Jacques Comhaire de la Fondation Roi Baudouin, l’atelier de restauration de la Bibliothèque Universitaire Moretus Plantin a lancé un nouveau projet de recherche portant sur les reliures en parchemin dans les Pays-Bas méridionaux aux 16e et 17e siècles. Objectif : mieux comprendre pour mieux conserver.
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Il faut sauver le bien commun !

Depuis la pandémie, ce cri d’alarme du Prix Nobel d’économie Jean Tirole semble plus que jamais d’actualité. Les 19 et 20 mai 2022, le deuxième Sommet du Bien commun, organisé à Toulouse, a mobilisé des centaines de milliers d’internautes. Le 24 mai 2022, à Bruxelles, la Nuit du Bien commun a levé plus d’un demi-million d’euros de dons. Et, l’an prochain, la Chaire Notre-Dame de la Paix de l’UNamur sera consacrée au bien commun. Mais c’est quoi, ce « bien commun » qui appartient à tout le monde et à personne ? Quatre chercheurs de l’UNamur nous livrent leurs réflexions pour stimuler la nôtre.
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Colloque international sur la pensée et la pratique politique au Moyen Âge

Le centre de recherche Pratique Médiévale de l’Écrit (PraME) nous invite à une immersion au cœur du pouvoir tel qu’il était exercé au Moyen Âge à l’occasion d’un colloque international. Organisé du 10 au 12 mai, cet événement scientifique rassemble des chercheurs venus de toute l’Europe. Tous poursuivent le même objectif : croiser leurs sources et leurs approches historiques pour mieux comprendre le rapport entre théorie et pratique politique du 11e au début du 13e siècle.
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21 nouveaux financements F.R.S.-FNRS pour la recherche à l’UNamur !

Le F.R.S.-FNRS vient de publier les résultats de ses différents appels 2023. Appels équipement, crédits et projets de recherche, WELCHANGE, Bourses de doctorat FRIA et FRESH et Mandant d’Impulsion Scientifique, les instruments sont nombreux pour soutenir la recherche fondamentale. Découvrez les résultats de l’UNamur en détail.
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Les programmes de financement FED-tWIN - À deux, c’est mieux !

Depuis 2019, la Politique scientifique fédérale (BELSPO) finance les programmes de recherche FED-tWIN, menés conjointement par les Établissements scientifiques fédéraux et les universités de toute la Belgique. L’UNamur en a décroché deux. L’un et l’autre pour le centre de recherche PraME dédié à l’étude des pratiques médiévales de l’écrit et lié à l’Institut PaTHs.
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Projet de recherche-action NHNAI

NHNAI - New Humanism at the time of Neurosciences and Artificial Intelligence
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Activités

Colloques 14/11/2024 | L'émergence de la conscienceColloque interdisciplinaire organisé par ESPHIN (Espace Philosophique de l’UNamur), avec la collaboration du Centre Universitaire Notre-Dame de la Paix (cUNDP), du Louvain Institute of Biomolecular Science and Technology, et de Louvai4evolution (UCLouvain).Ce colloque gratuit s'adresse :Aux spécialistes, étudiants ou doctorants  de différentes disciplines : neurosciences, biologie, anthropologie, médecine, psychologie, philosophie, éthique, informatique, robotique, mathématiques, …Aux personnes passionnées d'interdisciplinarité ;Aux humanistes et aux curieux.Lieu  : Faculté de philosophie et lettres, rue Grafé 1, Local L22En savoir plus Séminaires "écologie du vivant" Un constat s’impose à qui est attentif aux chemins empruntés par un nombre grandissant de penseurs du 21ème siècle : ces chemins mènent aux vivants ! Qu’elle soit nommée « écophilosophie », « écoanthropologie », « écosophie », ou encore « écopolitique », cette pensée du vivant occupe une place grandissante non seulement dans les médias et les publications de toutes sortes, mais aussi dans les actions concrètes sur des terrains variés.Phénomène de mode ? Courant éphémère ? Effet collatéral du « transitionnisme » teinté de catastrophisme ambiant ? Nouvelle tentative de fronde écologique ? Que penser de cette pensée du vivant ?Les séminaires auquel nous vous invitons se veulent être un espace de rencontres – un écosystème – au cœur duquel nous ferons résonner des textes fondateurs de ce courant qui intègre nature, environnement, milieu, humain et non-humain, et qui enjambe les dualismes usés de notre tradition moderne. En d’autres mots, nous vous proposons de lire ensemble certains textes-clés d’auteurs qui ont tenté de tirer des leçons de leurs rencontres authentiques avec d’autres vivants.Programme 2024-2025 | Aux racines de l'HumainLe 13 décembre 2024 de 14h00 à 16h00 (intervention, discussions et moment convivial). Quentin HIERNAUX introduira la philosophie du végétal et nous parlera du "Tableau physique des Andes" de Humboldt et de sa géographie équinoxiale des plantes.Le 28 février 2025 de 14h00 à 16h00 (intervention, discussions et moment convivial), Jean-Baptiste VUILLEROD abordera la thématique suivante: Naturphilosophie du végétal : Goethe, Schelling, Humboldt.Le 11 avril 2025 de 14h00 à 16h00 (intervention, discussions et moment convivial), Roland CAZALIS nous partagera son point de vue de biologiste sur le monde végétal.Pour introduire le sujetSi nous faisions le bilan de l’histoire de l’humanité, une tendance ressortirait certainement : celle d’un rapport utilitaire au non humain ne cessant de s’accentuer, et par suite celle d’un fossé se creusant entre l’humain et le reste.L’humanité plonge pourtant ses racines dans un milieu vivant qui cultive bien d’autres relations que celles que nous privilégions actuellement et qui sont dominées par la rationalité instrumentale. Sonder ces univers relationnels oubliés sans lesquels il est de plus en plus difficile de penser l’humain est un objectif de ce séminaire qui, cette année, vous invitera à rencontrer le végétal.Nous avons l’an dernier porté notre attention à la dimension communautaire du vivant en partant de l’œuvre d’Aldo Leopold. Le forestier américain nous interpellait notamment avec ce questionnement duquel nous ne devrions jamais nous éloigner : « qu’aimons-nous et qui aimons-nous au juste ? ». Sa réponse, au milieu du siècle dernier, confirmait déjà la tendance évoquée ci-dessus : « Certainement pas les sols, que nous laissons se faire charrier vers les estuaires. Certainement pas les eaux, dont nous supposons qu’elles n’ont d’autres fonctions que d’actionner des turbines, porter des chalands et emporter des ordures. Certainement pas les plantes, dont nous exterminons des communautés entières sans un battement de paupière. Certainement pas les animaux, dont nous avons déjà extirpé beaucoup des plus grandes et des plus magnifiques espèces. ». Face à ce manque de considération vis-à-vis de ce qui n’est pas nous, l’éthique de la terre proposée par Léopold « modifie le rôle d’homo sapiens, qui, de conquérant de la terre-communauté, en devient membre à part entière et citoyen ». Il s’agit donc d’une éthique qui « implique le respect pour les autres membres ainsi que pour la communauté en tant que telle », et « l’homme n’est en définitive qu’un membre d’une équipe biotique » (« L’éthique de la terre », dans Almanach d'un comté des sables).Pour nous aider à retrouver ce sens communautaire vital, nous nous tournerons cette année vers les modes de vie du végétal : ces vivants qui entretiennent des relations intimes avec la lumière, l’air, l’eau et tout ce que nous nommons « sol ». Comment nous laisser instruire par les végétaux sans lesquels nous ne pourrions exister ? « En rendant possible le monde dont elles sont partie et contenu, les plantes détruisent la hiérarchie topologique qui semble régner dans le cosmos. Elles démontrent que la vie est une rupture de l’asymétrie entre contenant et contenu. Lorsqu’il y a de la vie, poursuit le philosophe Emanuele Coccia, le contenant gît dans le contenu (et est donc contenu par lui) et vice versa. Le paradigme de cette imbrication réciproque est ce que les Anciens déjà appelaient souffle (pneuma). Souffler, respirer, signifie en effet faire cette expérience : ce qui nous contient, l’air, devient contenu en nous et, à l’inverse, ce qui était contenu en nous devient ce qui nous contient. » (La vie des plantes).Le Tableau Physique (1807) d'Alexander von Humboldt :
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Membres

Membres du bureau Président : Laurent RavezVice-président : Louis CarréReprésentante du Département philosophie : Laura RizzerioReprésentant du Département sciences-philosophies-sociétés : Geoffroy de BrabanterReprésentant des membres associés : Bertrand HespelSecrétariat: Vénonique OroseGestionnaire du site Web: Nathanaël Laurent Voir tous les membres
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Événement

Séminaires "écologie du vivant" - Aux racines de l'Humain

Un constat s’impose à qui est attentif aux chemins empruntés par un nombre grandissant de penseurs du 21ème siècle : ces chemins mènent aux vivants ! Qu’elle soit nommée « écophilosophie », « écoanthropologie », « écosophie », ou encore « écopolitique », cette pensée du vivant occupe une place grandissante non seulement dans les médias et les publications de toutes sortes, mais aussi dans les actions concrètes sur des terrains variés.Programme 2024-2025 | Aux racines de l'HumainPour introduire le sujetSi nous faisions le bilan de l’histoire de l’humanité, une tendance ressortirait certainement : celle d’un rapport utilitaire au non humain ne cessant de s’accentuer, et par suite celle d’un fossé se creusant entre l’humain et le reste.L’humanité plonge pourtant ses racines dans un milieu vivant qui cultive bien d’autres relations que celles que nous privilégions actuellement et qui sont dominées par la rationalité instrumentale. Sonder ces univers relationnels oubliés sans lesquels il est de plus en plus difficile de penser l’humain est un objectif de ce séminaire qui, cette année, vous invitera à rencontrer le végétal.Le 13 décembre 2024 de 14h00 à 16h00 (intervention, discussions et moment convivial). Quentin HIERNAUX introduira la philosophie du végétal et nous parlera du "Tableau physique des Andes" de Humboldt et de sa géographie équinoxiale des plantes.Prochaines datesLe 28 février 2025 de 14h00 à 16h00 (intervention, discussions et moment convivial), Jean-Baptiste VUILLEROD abordera la thématique suivante: Naturphilosophie du végétal : Goethe, Schelling, Humboldt.Le 11 avril 2025 de 14h00 à 16h00 (intervention, discussions et moment convivial), Roland CAZALIS nous partagera son point de vue de biologiste sur le monde végétal. En savoir plus sur les séminaires
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Séminaires "écologie du vivant" - Aux racines de l'Humain

Un constat s’impose à qui est attentif aux chemins empruntés par un nombre grandissant de penseurs du 21ème siècle : ces chemins mènent aux vivants ! Qu’elle soit nommée « écophilosophie », « écoanthropologie », « écosophie », ou encore « écopolitique », cette pensée du vivant occupe une place grandissante non seulement dans les médias et les publications de toutes sortes, mais aussi dans les actions concrètes sur des terrains variés.Programme 2024-2025 | Aux racines de l'HumainPour introduire le sujetSi nous faisions le bilan de l’histoire de l’humanité, une tendance ressortirait certainement : celle d’un rapport utilitaire au non humain ne cessant de s’accentuer, et par suite celle d’un fossé se creusant entre l’humain et le reste.L’humanité plonge pourtant ses racines dans un milieu vivant qui cultive bien d’autres relations que celles que nous privilégions actuellement et qui sont dominées par la rationalité instrumentale. Sonder ces univers relationnels oubliés sans lesquels il est de plus en plus difficile de penser l’humain est un objectif de ce séminaire qui, cette année, vous invitera à rencontrer le végétal.Prochaine dateLe 11 avril 2025 de 14h00 à 16h00 (intervention, discussions et moment convivial), Roland CAZALIS nous partagera son point de vue de biologiste sur le monde végétal. En savoir plus sur les séminaires
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