Résultats de recherche

Le CeReFiM étudie les questions de finance et de macroéconomie. Ces dernières années, plusieurs programmes de recherche ont été menés sur des sujets spécifiques tels que les systèmes financiers complexes, la finance durable et le risque systémique dans l'industrie des fonds communs de placement. Dans la plupart des cas, les questions de recherche sont abordées d'un point de vue empirique à l'aide de techniques économétriques modernes. Actuellement, le CeReFiM se compose d'un groupe équilibré de membres seniors et juniors qui travaillent en étroite collaboration les uns avec les autres ainsi qu'avec des universitaires et des praticiens de la finance de nombreuses universités et institutions financières en Belgique et à l'étranger.

Le CERPE étudie des questions d'intérêt majeur liées à l'analyse économique régionale et à la politique économique. Les domaines d'expertise du centre sont ancrés dans l'économie spatiale et régionale, l'économie interrégionale et internationale, l'économie industrielle et de la concurrence, l'économie du travail et du personnel, l'économie de l'entrepreneuriat et de l'innovation, l'économie publique et les finances publiques. Conformément à sa mission, les recherches menées combinent à la fois des travaux théoriques et appliqués, avec un accent particulier sur la Wallonie dans le paysage institutionnel belge.

Le CRED est une entité de recherche dédiée à l'étude de l'économie du développement. Plus précisément, les chercheurs travaillent sur des questions liées aux micro-institutions, à l'action collective, au développement des marchés et à l'économie politique. Une partie importante des recherches menées au CRED s'appuie sur des données de première main collectées par les chercheurs dans de nombreux pays d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine. Des travaux théoriques et empiriques sont régulièrement produits par une équipe de 6 chercheurs académiques permanents ainsi que 10 à 15 doctorants et chercheurs post-doctoraux.

Karel Mertens est un chercheur de renommée internationale qui a réalisé des travaux remarquables dans le domaine de la macroéconomie. Il séjournera en Belgique pendant trois mois pour participer aux activités de la Chaire Internationale Francqui organisée par le département d’économie de l’UNamur, en collaboration avec la KULeuven, l'UAntwerp, l'Université de Gand, l’UCLouvain, et la Banque Nationale de Belgique. Interview.

A l’UNamur une nouvelle plateforme dédiée à la recherche en sciences humaines et sociales (SHS) voit le jour. Objectif ? Offrir aux chercheuses et chercheurs en SHS, un soutien méthodologique adapté à leurs besoins et renforcer l’excellence en SHS à l’UNamur. Cette plateforme, SHS Impulse, fournira divers services tels qu’un apport financier pour des formations, de la consultance, des accès à des ressources, ou encore des achats de logiciels en cofinancement. 

Le 30 novembre 2022, Magaly Ghesquière et Laurence Meurant (UNamur), co-auteures du livre « Ecole et Surdité - Une expérience d'enseignement bilingue et inclusif » ont reçu le prix du meilleur ouvrage pour l’Enseignement et l’Éducation permanente du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Encore une belle récompense qui vient compléter la sortie récente du premier dictionnaire contextuel bilingue langue des signes-français interrogeable en langue des signes.

En janvier 2023, le Professeur Romain Houssa de l’UNamur a conduit une délégation belge pour la formulation d’un nouveau programme d’appui institutionnel (AI) de l’ARES à l’Université d’Abomey-Calavi (UAC) au Bénin. Ce programme pluridisciplinaire d’appui à la recherche et l’innovation vise à renforcer les collaborations scientifiques entre les chercheurs de la FWB et le Bénin ainsi que d’autres pays de cette région ouest africaine, notamment au Togo, au Niger ou au Burkina-Faso.

Un dictionnaire bilingue français-langue des signes (LSFB), que l’on peut interroger dans les deux langues, grâce à une technologie de pointe (reconnaissance faciale) et à l’accès à une vaste base de données compilant plus de 4.500 signes, de mots et d’expressions.

Octobre 2003, la Langue des signes de Belgique francophone (LSFB) était reconnue comme langue officielle par la Communauté française. Dix ans plus tard, en février 2013, l’UNamur, pionnière dans le domaine de l'étude linguistique de la LSFB, inaugurait le laboratoire LSFB-Lab. Retour sur cette aventure interdisciplinaire unique en Belgique.

Ce 28 juin 2024, les vingt-deux premiers étudiants du Certificat interuniversitaire en Langue des Signes de Belgique Francophone (LSFB) et français, sont proclamés à l’UNamur. Il s’agit de la première formation en Belgique francophone entièrement pensée en langue des signes et destinée au public sourd. Elle représente une avancée significative dans l’éducation inclusive et l’inclusion linguistique et sociale des personnes sourdes et malentendantes. Elle permet aussi de mettre en avant les atouts des professionnels sourds dans ces domaines.

Notre laboratoire de langue des signes francophone de Belgique (LSFB-Lab) a été inauguré en février 2013 mais la recherche consacrée à la LSFB existe à l'Université de Namur depuis 2000. Les travaux se sont multipliés et l'équipe s'est agrandie : chercheurs, enseignants, experts de LSFB et responsable vidéo. Le tout mêlant sourds et entendants.