Charlotte Beaudart, Namuroise de l’année : une récompense pour ses recherches sur le vieillissement
Nous aider à vieillir en bonne santé et de manière autonome. Tel est l’objectif que mène Charlotte Beaudart, à travers sa recherche consacrée à la sarcopénie, une maladie liée au vieillissement qui peut survenir dès l’âge de 50 ans. Le travail de la chercheuse de l’UNamur membre de l’Institut Narilis est une nouvelle fois récompensé, puisqu’elle vient d’obtenir le titre de « Namuroise de l’année », pour la catégorie Sciences !
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Infections de la peau : l’UNamur partenaire d’un projet de recherche Win²WAL
Le projet TineaDiag est un projet de recherche mené par l’UNamur et l’ULiège grâce à un financement obtenu dans le cadre du programme Win²WAL du SPW Recherche. Il s’attaque aux dermatophytoses, des infections de la peau responsables des teignes, qui peuvent affecter l’homme et l’animal. L’objectif ? Identifier, chez les dermatophytes, des marqueurs cellulaires précis afin de les détecter avec sensibilité et certitude, et ainsi identifier les infections provoquées par des souches résistantes aux antifongiques.
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Soutenance publique de thèse de doctorat en Sciences physiques - Andrea Scarmelotto
Abstract
Radiotherapy is a cornerstone of cancer treatment and is currently administered to approximately half of all cancer patients. However, the cytotoxic effects of ionizing radiation on normal tissues represent a major limitation, as they restrict the dose that can be safely delivered to patients and, consequently, reduce the likelihood of effective tumor control. In this context, delivering radiation at ultra-high dose rates (UHDR, > 40 Gy/s) is gaining increasing attention due to its potential to spare healthy tissues surrounding the tumor and to prevent radiation-induced side effects, as compared to conventional dose rates (CONV, on the order of Gy/min).The mechanism underlying this protective effect—termed the FLASH effect—remains elusive, driving intensive research to elucidate the biological processes triggered by this type of irradiation.In vitro models offer a valuable tool to support this research, allowing for the efficient screening of various beam parameters and biological responses in a time- and cost-effective manner. In this study, multicellular tumor spheroids and normal cells were exposed to proton irradiation at UHDR to evaluate its effectiveness in controlling tumor growth and its cytotoxic impact on healthy tissues, respectively.We report that UHDR and CONV irradiation induced a comparable growth delay in 3D tumor spheroids, suggesting similar efficacy in tumor control. In normal cells, both dose rates induced similar levels of senescence; however, UHDR irradiation led to lower apoptosis induction at clinically relevant doses and early time points post-irradiation.Taken together, these findings further highlight the potential of UHDR irradiation to modulate the response of normal tissues while maintaining comparable tumor control.JuryProf. Thomas BALLIGAND (UNamur), PrésidentProf. Stéphane LUCAS (UNamur), SecrétaireProf. Carine MICHIELS (UNamur)Dr Sébastien PENNINCKX (Hôpital Universitaire de Bruxelles)Prof. Cristian FERNANDEZ (Université de Bern)Dr Rudi LABARBE (IBA)
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PhD Student Day - UNamur & UCLouvain
La deadline d'inscription et de soumission pour les abstracts : 20 août 2025.
Plus d'infos sur le site internet de l'Institut NARILIS
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QUALIblood, une spin-off au service de la médecine de demain
L’un des soucis majeurs avec la maladie provoquée par le Covid-19 est son évolution grave, qui génère de nombreux problèmes pouvant entraîner une surcharge des hôpitaux. Détecter rapidement si une personne est à risque ou non de développer une forme sévère de la maladie est donc crucial pour optimaliser la prise en charge du patient et la gestion des ressources hospitalières. C’est l’un des objectifs de l’étude réalisée par QUALIblood, spin-off de l’UNamur, en collaboration avec le Département de pharmacie et de nombreux autres partenaires industriels et hospitaliers. Exploration d’une technologie de pointe au service de la santé.
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« Ecole et surdité » de M. Ghesquière et L. Meurant remporte un prix
Le 30 novembre 2022, Magaly Ghesquière et Laurence Meurant (UNamur), co-auteures du livre « Ecole et Surdité - Une expérience d'enseignement bilingue et inclusif » ont reçu le prix du meilleur ouvrage pour l’Enseignement et l’Éducation permanente du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Encore une belle récompense qui vient compléter la sortie récente du premier dictionnaire contextuel bilingue langue des signes-français interrogeable en langue des signes.
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De nouveaux indices pour percer l’armure de Brucella
Une équipe de chercheurs en microbiologie de l’UNamur vient de publier dans la revue Nature Communications. Le travail porte sur la bactérie Brucella à l’origine de la Brucellose, une maladie qui infecte le bétail et peut se transmettre à l’homme. Cette recherche vise à mieux comprendre les mécanismes moléculaires de croissance de la bactérie afin de mieux la combattre. Explications.
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Comprendre la migration des cellules pour lutter contre le cancer
Lorsqu’une tumeur se développe au sein d’un organisme, il arrive très fréquemment que les cellules cancéreuses quittent cette tumeur et s’installent dans un autre organe où elles y prolifèrent, créant ainsi ce qu’on appelle des métastases. Ce processus est un facteur important de mortalité puisqu’il signifie l’aggravation de la maladie. D’où l’intérêt de mieux comprendre ce qu’il se passe au cours de ce phénomène. C’est ce qu’a fait l’équipe multidisciplinaire de Carine Michiels, chercheuse au sein de l’Institut NARILIS de l’UNamur, et de Davide Bonifazi, chercheur à l’Université de Vienne, dans le cadre du projet de recherche PACMAN financé par le FNRS. Les résultats de cette étude sont publiés dans la revue Neoplasia.
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Première mondiale : un dictionnaire langue des signes-français
Un dictionnaire bilingue français-langue des signes (LSFB), que l’on peut interroger dans les deux langues, grâce à une technologie de pointe (reconnaissance faciale) et à l’accès à une vaste base de données compilant plus de 4.500 signes, de mots et d’expressions.
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Yves Poumay, chercheur sur les pathologies de la peau
Organe le plus étendu et le plus lourd de notre corps humain, la peau est au centre des recherches du professeur Yves Poumay. Depuis près de 30 ans, au sein du laboratoire Cellules et Tissus (LabCeTi), il développe in vitro des modèles d’épiderme qui reproduisent des pathologies de la peau pour mieux les comprendre et les traiter. Une approche pionnière qui offre des alternatives à l’expérimentation animale ! À la veille d’un congrès international consacré aux recherches en dermatologie organisé à l’UNamur (lire par ailleurs), il évoque l’importance du dépistage du mélanome et détaille les dernières avancées en dermatologie réalisées au sein de son laboratoire.
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