Ce roman est né durant le premier confinement, de l’imagination débordante et réaliste du chercheur passionné de l’UNamur, André Fűzfa. A la base de ce travail, il y a un constat inquiétant. La science-fiction a instillé dans la culture populaire des visions simplistes et dangereuses : celles que le voyage interstellaire est aussi facile que d’aller en vacances en voiture et que l’exode vers les étoiles sauvera finalement l’humanité. Fort de ses recherches sur le sujet, l’auteur livre dans ce roman une évocation réaliste de ce vieux rêve, qui en dénonce le coût immense pour l’humanité et son détournement cruel et mercantile.
Fable de convergence cosmique, l’ouvrage se veut aussi un outil de diffusion des connaissances, le livre est aussi complété par une annexe de vulgarisation qui permettra aux passionné.e.s de découvrir la science derrière le roman. André Fűzfa signe, avec l’« À l’appel des étoiles », son deuxième livre. Son premier ouvrage, « À chaque battement de nos coeurs vaillants » (paru en 2020 aux éditions Weyrich) était un témoignage de vie, face à une maladie incurable.
« À l’appel des étoiles », par lequel on découvre la trajectoire des personnages Sarah, Alim et Bob, vous fera découvrir notamment comment on surfe à toute vitesse sur l’espace-temps autour d’un trou noir. Il abordera au travers des protagonistes des questions d’actualité telles que le transhumanisme, l’émergence de la conscience chez l’intelligence artificielle, les rapports science et foi sous les angles de l’anticipation et de la fiction.
Vous aussi, vous l’avez déjà entendu, n’est-ce pas ? Cet appel impérieux, qui nous pousse vers les étoiles… Que feriez-vous si ce moteur de l’humanité allait être perverti ? Que votre plus vieux rêve allait virer au cauchemar ? Jusqu’où seriez-vous prêt.e à aller pour sauver l’appel des étoiles ? Aucun homme ne pourra arrêter ce dangereux dévoiement, mais une fille de lune, Sarah Holdfény, le fera. Alim n’avait pas vraiment le choix : mourir ici ou bien là-bas. Ainsi, Dieu a voulu qu’il la suive, parmi les cieux qu’Iel a créé, où il y a tant de signes pour les êtres doués d’intelligence. Alors, puisque rien n’arrive par hasard, il saura se montrer digne de Sa confiance. Ses créateurs lui refusent le titre de vivant et pourtant, il l’aime. Car on est bien vivant quand on aime, non ? Lui, il aime quand elle rêve, et qu’elle l’emporte avec elle, à la poursuite de la lumière. Bob est vivant, car il n’existe que pour voler. Et pour voler avec elle. Au-delà de la convoitise des hommes, Sarah, Alim et Bob découvriront des enjeux cosmiques qui nous dépassent. Des ombres abandonnées, maraudant en quête de rédemption. Et elles ont un avertissement pour tous ceux qui sont tentés par s’abandonner à l’appel des étoiles.
« À l’appel des étoiles » (364 pages), paru chez Publishroom en impression à la demande, à commander en librairie ou en ligne sur Publishroom, Amazon, Fnac, Cultura, Decitre.