Les 5E se déclinent aussi bien en recherche qu’en enseignement. La recherche se fait à présent dans les Instituts de recherche de l’Université. Bien entendu, physiquement, les chercheurs sont souvent rattachés à une faculté d’où l’importance de travailler de concert avec les présidents des Instituts à savoir, pour ce qui concerne ma Faculté, DeFFiP, IRDENa, NaDI, naxys et Transitions. Je ferai dès lors en sorte que les chercheurs puissent avoir le meilleur cadre de travail et de créer un environnement stimulant au développement de recherches de qualité. Sur le plan de l’enseignement, même si nous avons déjà fait beaucoup, notamment dans le domaine de l’aide à la réussite ou le développement de notre réforme « Learning by doing », il nous reste de beaux défis à relever : le suivi des étudiants tout au long de leur parcours, et même au-delà, et notamment le problème des décrochages et abandons, les approches programmes, l’hybridation, l’utilisation à bon escient des technologies et approches modernes d’enseignement pour engager les étudiants dans leur apprentissage, les ponts entre recherche et enseignement, piliers d’un enseignement universitaire, à renforcer voire développer dès le début du cursus … sans oublier le taux de réussite qui en bachelier reste encore et à toujours problématique. Je rêve d’un enseignement où l’excellence ne se fait pas au détriment de la réussite du plus grand nombre…