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Le suivi des actions HRS4R est assuré par le comité de pilotage Euraxess, présidé par la Vice-Rectrice à la Recherche, Pr. Carine Michiels. Afin de représenter tout le personnel de l'Université dans les programmes HRS4R et OTM-R, des représentants des différents corps académique, scientifique et ATG (personnel administratif, technique et de gestion) siègent au comité. 

En 2012, l’Université de Namur s'engage dans le processus d’obtention du label « HR Excellence in Research ».  Ce label européen est octroyé aux institutions de recherche et de financements qui appliquent le Code de recrutement et la Charte du chercheur et qui prennent des actions pour les implémenter dans leurs politiques de recrutement et de gestion humaine.

Pour favoriser le développement de l’excellence de la recherche à l’UNamur, il est essentiel d’avoir une procédure de recrutement des chercheurs de qualité et de les accompagner tout au long de leur carrière. A partir de 2018, la Commission européenne invite les universités européennes à s'inscrire à la stratégie "OTM-R" qui promeut un recrutement Ouvert, Transparent et basé sur les Mérites, en complément des actions HRS4R.

Le mardi 4 mars 2025, de 13h30 à 16h00, Info études vous propose un atelier d’orientation pour réfléchir au processus d’orientation, mieux appréhender le paysage de l’enseignement supérieur et définir les balises principales dans le processus de clarification de votre projet (de formation et professionnel).

« Les compétences transversales (soft skills) ou sociales désignent l’ensemble des compétences que la personne met en œuvre en dehors des compétences scientifiques et techniques (hard skills) propres à son métier. » Au moins 5 crédits (ou ECTS = European Credit Transfer System) doivent être acquis dans le cadre de votre formation doctorale (catégorie Cours). Vous trouverez ici une liste de formations proposées à l'Université de Namur.

Ouverte au public depuis mai 2020, l’Enjambée est une passerelle cyclopiétonne qui « enjambe » la Meuse pour relier Jambes et Namur. En quelques minutes, les habitants, cyclistes, passants et touristes peuvent rejoindre les deux centres économiques urbains au départ de deux emplacements emblématiques : le site du « Grognon » côté Namur et la jolie « Villa Balat », côté Jambes. 

Découvrez les édifices namurois que l’UNamur a choisi de mettre à l’honneur. 

Tout en haut de la Citadelle, on aperçoit une étoile aux allures futuristes. Comme décrochée du ciel, elle scintille et sublime le site patrimonial et historique du promontoire namurois. Il ne s’agit pourtant pas d’un astre, mais bien d’une construction à l’architecture audacieuse qui invite à voyager, dans un espace-temps où la perception et la compréhension se mêlent à l’étonnement et à l’amusement. Dédié aux cultures numériques, le « Pavillon », ainsi nommé, relève un défi de taille pour notre société. Ce nouveau lieu d’exposition mixe art, sciences et technologies pour permettre au plus grand nombre de comprendre et de s’approprier l’impact des innovations technologiques sur notre époque. 

Là où, autrefois, résonnait le pas des chevaux militaires, le Grand Manège fait aujourd’hui vibrer les cœurs au son des chants et des notes de musique. Sur une surface de 6000m², ce nouveau lieu d’exception dédié à la musique classique abrite le Conservatoire Balthasar-Florence, le Centre d’Art Vocal et de Musique Ancienne, l’association À Cœur Joie et une salle de concert de 750 places à l’acoustique remarquable, baptisée le « Namur Concert Hall ». Une véritable cité musicale qui participe à l’épanouissement des étudiants, des musiciens, des artistes, des mélomanes, mais aussi des namurois ! 

Inauguré en mai 2021, le tout nouveau téléphérique namurois a pris son envol. Avec sa localisation idéale depuis la place Maurice Servais, il assure un meilleur accès touristique à la Citadelle depuis le centre urbain. Un voyage express entre ciel et terre qui ne laisse pas indifférent ! 

Une gare des bus intégrée dans le même bâtiment qu’une gare des trains… c’est une première en Wallonie ! Depuis le 1er mars 2023, la gare de Namur a fait peau neuve. Avec sa toute nouvelle infrastructure multimodale, elle assure une correspondance facile aux usagers qui profitent d’un voyage encore plus agréable. 

De l’Hospice Saint-Gilles au Parlement de Wallonie En bordure de Meuse et au pied de la Citadelle se trouve un site chargé d’histoire. Depuis la Préhistoire à nos jours, la présence de l’Homme s’y est poursuivie sans discontinuer. C’est sur le site du Grognon que s’est implanté, dès le XIIe siècle, le « Saint-Gilles ». Tantôt hôpital, tantôt hospice, ce bâtiment chargé d’histoire et symbole de l’hospitalité accueille aujourd’hui le Parlement wallon.  Un peu d’histoireLes fouilles archéologiques menées sur l’emplacement du bâtiment « Saint-Gilles » ont révélé des fondations datant des XIe et XIIe siècles. À cette époque, il était le premier hôpital namurois et accueillait les malades, les pauvres et les pèlerins. Ses fondateurs, religieux ou laïcs, seigneurs ou bourgeois, mobilisaient des moyens destinés à l’accueil des pauvres pour s’aligner avec l’enseignement des évangiles : celui qui accueille une personne démunie reçoit le Christ lui-même. Au fil des siècles, l’édifice porta plusieurs patronymes : « Grand Hôpital », « Hostellerie de Namur », « Hôpital Notre-Dame »… avant d’être baptisé « Hôpital Saint-Gilles », en rappel à la chapelle éponyme qui lui était attenante au XVe siècle. Le bâtiment évolua au cours de l’histoire. Entouré d’hôtels particuliers que leurs propriétaires n’avaient plus les moyens d’entretenir, il fut construit, reconstruit, agrandi et transformé pour absorber ces nouveaux espaces offerts par leurs détenteurs en échange d’un toit et d’un couvert jusqu’au terme de leur vie. Sa réédification arriva à terme en 1723 pour former un « U ». Au rez-de-chaussée se trouvait une grande salle des malades et un dortoir occupait tout l’étage. L’office, la pharmacie, la boulangerie et la buanderie se trouvaient au sous-sol. Briques pour les murs et pierre calcaire pour le soubassement, encadrement des fenêtres, chaînages d’angle et de cordons : le bâtiment est toujours représentatif des constructions mosanes de l’époque. En 1796, le bâtiment changea de nom et de fonction. Destiné alors à l’accueil des personnes âgées et des orphelins, il fut renommé « Hospice Saint-Gilles ». Il garda cette fonction jusqu’en 1965 où, faute de pouvoir répondre aux normes sanitaires qu’exige la fonction hospitalière, il fut abandonné. Vingt ans plus tard, la Région wallonne devint propriétaire du bâtiment. Pour accueillir le Parlement wallon en 1998, le Saint-Gilles a été rénové et consolidé tout en respectant les structures existantes. L’ancienne chapelle est devenue l’entrée du bâtiment, le dortoir des femmes s’est transformé en salle des séances plénières, l’ancien réfectoire est devenu une salle de commission… Même s’il a conservé son apparence initiale, les missions du Saint-Gilles ont, elles, bien changé !  Visiter le Parlement Sources https://artesgroup.be/fr/nouvelles/-2 https://connaitrelawallonie.wallonie.be/fr/lieux-de-memoire/le-saint-gilles#.ZEtyh3ZBw94 https://www.parlement-wallonie.be/media/doc/pdf/broch/cdp83.pdf https://www.parlement-wallonie.be/media/doc/pdf/broch/saint-gilles-20-ans.pdf https://www.parlement-wallonie.be/media/doc/pdf/jde_pw/parlement.pdf https://www.sudinfo.be/id596389/article/2023-01-03/le-saint-gilles-des-lits-dhopitaux-au-parlement-wallon