Biologie études

Le programme de bachelier en biologie à l’Université de Namur se caractérise par une étude, dès le départ, des grands domaines de la biologie (biologie cellulaire et moléculaire, diversité et évolution végétale, animale et des microorganismes, théories de l’évolution, histologie).  

La formation se complète des notions fondamentales de chimie et physique expérimentale ainsi que de statistiques et de programmation. 

Par la suite, la formation en biologie s’intensifie et se spécialise avec les cours de physiologie,  de génétique, de biochimie, de microbiologie, d’écologie et de bio-informatique. 

En troisième bloc, vous personnalisez votre formation en choisissant une option. Cette option ne vous ferme aucune porte, ni en master, ni sur le marché de l’emploi. 

Schéma du bachelier en biologie

Vous développez une bonne connaissance de l’anglais pour comprendre la littérature scientifique, mais aussi pour échanger avec d’autres scientifiques de votre domaine (certains cours se donnent en immersion anglais). 

Une dimension humaine complète votre bachelier par une approche réflexive sur le rôle et l’impact des sciences dans la société. 

Vous partez sur de bonnes bases

  • vous êtes passionnés par le vivant et curieux d’apprendre comment fonctionnent les organismes et processus vivants ; 
  • vous vous sentez à l’aise en biologie, physique, chimie et mathématiques, sans avoir nécessairement suivi un programme fort dans le secondaire ; 
  • vous avez l’esprit d’analyse et de synthèse ; 
  • Vous êtes motivés à l’idée d’apprendre l’anglais et de pouvoir communiquer dans cette langue. 

Méthodes d’enseignement

Cours, séminaires, travaux pratiques, séances d’exercices, laboratoires, stages… tout est mis en œuvre pour assurer une excellente maitrise des concepts et le développement de compétences pratiques dans les techniques les plus couramment utilisées par les biologistes. 

Organisés en petits groupes, les travaux pratiques et séances d’exercices vous font découvrir les techniques propres à chaque discipline. Vous apprenez à utiliser les appareils, à faire les mesures puis à les interpréter. Vous observez ainsi, expérimentalement, certaines lois ou certains phénomènes exposés dans les enseignements théoriques. 

Excursions et stages sont essentiels pour une science naturelle comme la biologie. C’est pourquoi, en plus des exercices et des laboratoires, vous participez à des journées en situation réelle de mise en œuvre de votre discipline : stage de biologie et d’écologie marine, stage de biologie environnementale, stage d’écologie et de biologie intégrative, stage pluridisciplinaire d’été, ou encore stage d’immersion en laboratoire, en industrie et en milieu hospitalier. 

L’autonomie et l’esprit critique sont des aptitudes que vous apprenez à développer tout au long de votre formation. Ainsi, lors des « flipped classrooms » ou des apprentissages par problèmes, vous préparez des parties de la matière en groupes encadrés par un enseignant. Vous présentez vos conclusions et vous formulez des questions pour tirer le meilleur parti de l’interaction avec l’enseignant. 

Grâce au projet « étudiant-chercheur », vous pouvez vous initier à la recherche sous la supervision d’une chercheuse ou d’un chercheur du département. Cette expérience vous permet aussi de développer votre autonomie, créativité et sens critique. 

Si vous choisissez le « tutorat en biologie » de bloc 3, vous pourrez encadrer des étudiants de bloc 1 et 2 lors de travaux pratiques et d’obtenir ainsi une première expérience en enseignement. 

La réalisation d’un travail de fin de cycle sur un sujet au choix clôture votre bachelier. Ce projet est traité de manière bibliographique, pédagogique (pour vous permettre de participer à une activité de diffusion des sciences) ou expérimentale (accompagnement d’une chercheuse ou d’un chercheur au laboratoire). 

Sciences études

Un programme ancré dans le développement durable

Virus mortels, maladies chroniques, perte de biodiversité, réchauffement de la planète, ressources alimentaires… sont des questions sociétales complexes impliquant la vie sous toutes ses formes. 

Analysez les composantes intimes de ces problèmes et développez des solutions d’avenir ! 

Aides à la réussite

Réussir une année d’études à l’université implique de nombreux défis. 

Pour vous aider à les relever, l’UNamur vous accompagne dans le développement de vos compétences disciplinaires, méthodologiques, humaines… avec le soutien de nombreux professionnels. 

Cours préparatoires, aide individualisée… Découvrez les dispositifs mis en place pour votre formation. 

Après le bachelier : le master

L’Université de Namur organise

directement accessibles après l’obtention du diplôme de bachelier en sciences biologiques.

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Conditions d'admission

Peuvent être admis aux études de bachelier, les titulaires d’un des titres suivants :

  • soit du certificat d'enseignement secondaire supérieur délivré à partir de l'année scolaire 1993-1994 par un établissement d'enseignement secondaire de plein exercice ou de promotion sociale de la Communauté française ainsi que les titulaires du même certificat délivré, à partir de l'année civile 1994, par le jury de la Communauté française (1);
  • soit du certificat d'enseignement secondaire supérieur délivré au plus tard à l'issue de l'année scolaire 1992-1993 accompagné du diplôme d'aptitude à accéder à l'enseignement supérieur (2);
  • soit d'un diplôme délivré par un établissement d'enseignement supérieur de la Communauté française sanctionnant un grade académique, soit d'un diplôme délivré par une institution universitaire ou un établissement organisant l'enseignement supérieur de plein exercice en vertu d'une législation antérieure (3) ;
  • soit d'un diplôme d'enseignement supérieur délivré par un établissement d'enseignement de promotion sociale (4);
  • soit d'une attestation de succès à un des examens d'admission organisés par les établissements d'enseignement supérieur ou par un jury de la Communauté française ; cette attestation donne accès aux études des secteurs, des domaines ou des cursus qu'elle indique ;
  • soit d'un diplôme, titre ou certificat d'études similaire à ceux mentionnés aux littéras précédents délivré par la Communauté flamande, par la Communauté germanophone ou par l'Ecole royale militaire ;
  • soit d'un diplôme, titre ou certificat d'études étranger reconnu équivalent à ceux mentionnés aux littéras précédents (1) à (4) ;
  • soit du diplôme d'aptitude à accéder à l'enseignement supérieur (DAES) conféré par le jury de la Communauté française ;
  • soit d'une décision, prise par le Gouvernement de la Communauté française de Belgique, attestant de l'équivalence du niveau d'études réalisées à l'étranger à un niveau d'études sanctionnées par l'octroi d'un grade académique de la Communauté française.

Sous certaines conditions, l’étudiant peut obtenir une réduction de la charge d’enseignement (jusqu’à 120 crédits maximum). 

Pour plus d’informations, il y a lieu de prendre contact avec le service des inscriptions.

 

Description

Le programme de bachelier à Namur se caractérise par une étude dès le départ des grands domaines de la biologie (biologie générale, diversité et évolution végétale, animale et des microorganismes) et se complète des notions fondamentales de chimie et physique expérimentale.

Par la suite, la formation en biologie s’intensifie et se spécialise avec les unités d’enseignement (UE) de physiologie, d’histologie, de génétique, de biochimie, d’écologie et de bio-informatique.

En troisième bloc, les étudiants personnalisent leur formation en choisissant une option :

  • biologie des organismes et écologie ;
  • biologie humaine cellulaire et moléculaire ;
  • microbiologie.

Ces trois orientations distinctes préparent spécifiquement aux principaux masters en sciences biologiques sans fermer de porte, ni en master, ni sur le marché de l’emploi.

Les étudiants développent une bonne connaissance de l’anglais pour comprendre la littérature scien­tifique, mais aussi pour échanger avec d’autres scientifiques de leur domaine.

Une dimension humaine complète le bachelier par une approche réflexive sur le rôle et l’impact des sciences dans la société.

 

Mobilité et ouverture internationale

Durant le bachelier, les étudiants ont l’occasion d’effectuer plusieurs stages de courte durée, en Belgique et en France (exemple : le stage de biologie marine, en Bretagne, ou le stage de biologie intégrée dans la vallée du Samson). Des visites sont également programmées dans des entreprises ou centres de recherche hospitaliers dans la région namuroise.

En fin de cycle de bachelier, les étudiants ont la possibilité de réaliser un séjour d’études d’un quadrimestre dans une université étrangère telle que l’Université d’Upsala et d’Umea en Suède ou l’Université d’Ottawa au Canada.

Les séjours d’études en Europe s’effectuent sous l’égide du programme européen « Erasmus », alors que ceux qui se déroulent sur un autre continent bénéficient du soutien du Fonds d’Aide à la Mobilité Etudiante (FAME).

 

 


 

 

Aide à la réussite

L’Université de Namur souhaite faciliter la transition entre l’enseignement secondaire et l’université. Différents dispositifs pédagogiques sont mis en place pour aider les étudiants au cours de leurs études. La proximité des étudiants et des enseignants qui caractérise l’UNamur permet un apprentissage personnalisé et attentif.

  • Passeport pour le bac

En début de bloc 1, les étudiants sont invités à répondre à un questionnaire appelé « Passeport » qui leur permet de se situer par rapport aux attentes des enseignants et par rapport aux autres étudiants. Sur base des résultats, les étudiants peuvent bénéficier de séances de correction et de renforcement des prérequis. Ces « passeports » sont réalisés à partir d’une recherche menée au départ de l’Université de Namur pour cerner les « prérequis » nécessaires lors de l’entrée à l’université, c’est-à-dire les aptitudes apprises dans le secondaire auxquelles les unités d’enseignement de bloc 1 font appel.

  • Séminaire de méthodologie du travail étudiant

Dès le début du bloc 1, les étudiants doivent se familiariser avec de nouvelles techniques d’apprentissage : prendre des notes exhaustives d’exposés denses, gérer leur temps de travail en se fixant leurs propres échéances intermédiaires, mémoriser des quantités de matières plus importantes que dans le secondaire et donc les résumer et les synthétiser. Ils doivent assurer leur compréhension des textes liés aux différentes matières et se familiariser à un type de communication propre à l’université. Disposer de stratégies efficaces dans ces domaines constitue un atout majeur pour réussir une première année.

Un séminaire de 5 séances de méthodologie vise à préparer les étudiants à ces nouvelles techniques d’apprentissage.

Par ailleurs, la Cellule interfacultaire d'appui pédagogique de l’UNamur répond à toute demande d’aide méthodologique et peut assurer un suivi individuel tout au long de l’année.

  • Remédiation

Dès la première semaine de cours et pendant tout le bloc 1, des séances de remédiation sont organisées et intégrées à la formation.

Les délégués de cours relayent auprès des enseignants les difficultés rencontrées par les étudiants. Des séances de remédiation et d’exercices sont alors proposées pour les contenus des UE moins bien compris par les étudiants. Concrètement, chaque mercredi, une partie de la mati­née est consacrée à la révision des principales matières scientifiques et à la méthodologie du travail universitaire. Ces séances peuvent prendre la forme d’ateliers, de forums de discussion, de laboratoires, de permanences...

  • Coach

Dès le début de l’année, les étudiants peuvent également bénéficier d’une aide personnalisée. Un coach les guide dans leurs études en leur proposant un service d’écoute, de conseil, d’interprétation des résultats, et les réoriente vers d’autres personnes ressources.

 

Méthodes d'enseignement

Théorie, séminaires, travaux pratiques, séances d’exercices, laboratoires, stages… tout est mis en œuvre pour assurer une excellente maîtrise des concepts et le déve­loppement de compétences pratiques dans les techniques les plus couramment utilisées par les biologistes.

Organisés en petits groupes, les travaux pratiques et séances d’exercices font découvrir aux étudiants les techniques propres à chaque discipline. Ils apprennent à utiliser les appareils, à faire les mesures puis à les interpréter. Ils observent ainsi, expérimentalement, certaines lois ou certains phénomènes exposés dans les enseignements théoriques.

Excursions et stages sont essentiels pour une science naturelle comme la biologie. C’est pourquoi, en plus des exercices et des laboratoires, les étudiants participent à des journées en situation réelle de mise en œuvre de la discipline : stage de biologie et d’écologie marine, stage de biologie environnementale, stage d’écologie et de biologie intégrative…

L’autonomie et l’esprit pratique sont des aptitudes que les étudiants apprennent à développer tout au long de leur formation. Ainsi, lors des « flipped classrooms » ou des apprentissages par problèmes, les étudiants préparent des parties de la matière en groupes encadrés par un enseignant. Ils présentent leurs conclusions et formulent des questions pour tirer le meilleur parti de l’interaction avec l’enseignant.

Grâce au projet « étudiant-chercheur », les étudiants peuvent s’initier à la recherche sous la supervision d’une chercheuse ou d’un chercheur du département. Cette expérience leur permet aussi de développer leur autonomie, créativité et sens critique.

La réalisation d’un travail de fin de cycle sur un sujet au choix clôture le bachelier. Ce projet est traité de manière bibliographique, pédagogique (pour permettre aux étudiants de participer à une activité de diffusion des sciences) ou expérimentale (accompagnement d’une chercheuse ou d’un chercheur au laboratoire).

 

Finalités et objectifs

Au terme de la formation de bachelier en sciences biologiques, les étudiants seront capables de :

  • maîtriser les autres disciplines scientifiques (chimie, physique, géologie, mathématique) en tant qu’outil au service des principales disciplines de la biologie ;
  • se positionner face aux défis sociétaux multiples et extrêmement variés qui concernent les biologistes et qui impliquent souvent l’utilisation ou l’invention de technologies de pointe ;
  • maîtriser l’anglais scientifique écrit, lu et parlé pour comprendre la littérature scientifique, mais aussi pour échanger avec d’autres scientifiques du domaine.

 

Évaluation

  • En bloc 1

En bloc 1, des évaluations formatives sont organisées début novembre dans certaines matières. Les enseignants corrigent les copies, les commentent et organisent des séances de correction collectives. Ces tests n’interviennent pas dans les notes qui seront attribuées en fin d’année. Il s’agit uniquement d’un outil de formation pour que les étudiants puissent se rendre compte du niveau d’exigence des enseignants et juger de l’efficacité de leur travail et de leur aptitude à gérer une situation d’examen.

Une aide personnalisée ou en petits groupes est également offerte aux étudiants afin d’analyser les résultats obtenus aux évaluations formatives, de discuter de la méthode de travail ou d’approfondir certaines parties d’une matière.

En janvier, les étudiants de bloc 1 présentent les examens sur les matières enseignées lors du 1er quadrimestre. En cas d’échec, le résultat obtenu n’est pas pris en compte et les étudiants pourront encore présenter l’examen concerné en juin et en août-septembre.

  • Au-delà du bloc 1

Au-delà du bloc 1, les étudiants présentent en janvier un examen sur chacune des UE suivies. La note obtenue en janvier est définitive et retenue pour la première session d’examens.

 

Les métiers des biologistes

Un secteur en évolution constante 

Les sciences du vivant évoluent sans cesse, et avec elles les techniques et les métiers. En Belgique, l’industrie pharmaceutique emploie plus de 29.000 personnes, dont plus de 5.000 en recherche et développement (R&D). Avec 12.8% des exportations mondiales de produits pharmaceutiques, notre pays occupe une position de leader. À côté du secteur de la santé, le développement de la conscience environnementale ouvre un nombre croissant d’opportunités aux biologistes. 

Faire progresser la science 

Près de 40% de nos jeunes diplômés commencent leur carrière par une activité de recherche à l’université, en Belgique ou à l’étranger. Ils y réalisent un doctorat (en général 4 ans) ou participent à un programme de recherche, le plus souvent sur un sujet fondamental. 

La recherche s’exerce aussi dans les départements R&D des entreprises et dans des centres publics. Au sein d’une équipe, les biologistes développent de nouveaux produits ou réalisent des analyses en laboratoire. 

J’ai été engagée à la sortie de mes études dans une CRO (Contract Research Organisation) située à Louvain-la-Neuve. Je mets en place des études cliniques pour le compte de nos clients. Concrètement, j’organise la soumission de l’étude au comité d’éthique. Ensuite, je forme les personnes du site où va se conduire l’étude. Je visite régulièrement le site pour m’assurer que le protocole est bien respecté. Je fais le lien avec les autres sous-contractants impliqués (par exemple pour les analyses génétiques du sang, pour l’encodage des résultats dans des bases de données…). Enfin, je coordonne l’écriture du rapport final d’étude. C’est un métier qui demande beaucoup d’organisation et une solide aptitude à gérer le stress 

Marie, diplômée

Je gère un contrat de rivière dans le sud de la Belgique, au sein d’un parc naturel financé par des fonds européens. Mettre en place un contrat de rivière implique de convaincre beaucoup de partenaires aux intérêts souvent divergents. Je dois promouvoir le projet, notamment par l’édition de brochures. J’organise des activités de sensibilisation, par exemple des stages pour les enfants. La gestion administrative et financière ainsi que la recherche de financement occupent une bonne partie de mon temps.

Nicolas, diplômé

À la périphérie de la recherche et développement

De nombreuses et nombreux prestataires de services interviennent en aval de la R&D. Dans les grandes entreprises, des départements prennent en charge ces activités, en tout ou en partie. 

Les CRO’s (Contract Research Organisation) sont des sociétés de services qui sous-traitent certaines étapes de la recherche clinique pour le compte de grandes entreprises. Certaines se sont spécialisées dans la gestion des études cliniques auxquelles sont soumises les nouveaux produits pharmaceutiques avant leur mise sur le marché, afin d’en vérifier l’innocuité et le profil pharmacocinétique (devenir d’une substance active d’un médicament au sein de l’organisme, après son administration). 

La qualité est le maître-mot du secteur pharmaceutique. Il faut toujours être capable de prouver que toutes les procédures sont conformes aux réglementations en vigueur, depuis les premières étapes du développement jusqu’à l’acheminement des produits chez les clients. 

Au sein des départements d’affaires réglementaires, des biologistes épaulés par des juristes suivent les réglementations en vigueur et se chargent du dépôt et du suivi des dossiers « qualité » ou « propriété intellectuelle » auprès des autorités administratives compétentes. 

Préserver le patrimoine vivant 

De plus en plus de biologistes œuvrent à la protection du patrimoine naturel, végétal ou animal. Dans le respect des politiques environnementales mises en place, ils en assurent l’inventaire, la gestion, la surveillance ou encore la promotion. Ils peuvent conduire des projets d’envergure liés au développement durable (recherche de partenaires, collecte de fonds, animation, etc.). 

 Ma société développe des bioréacteurs. Nous sommes 80 aujourd’hui. Après un an de formation en laboratoire, je gère un projet de culture cellulaire. Cela implique de planifier les étapes en fonction des ressources en termes de matériel et de personnel, avec l’aide d’outils de gestion de projet. Je fais des recherches bibliographiques, je conduis certaines expériences, je présente les résultats sous la forme d’exposés et de publications. L’anglais est indispensable pour tous les contacts avec nos partenaires et nos clients.

Florence, diplômée

Je suis responsable en assurance qualité dans un centre de recherches en agronomie. Nous testons des pesticides avant leur mise sur le marché. Je passe 25% de mon temps sur le terrain, en inspection dans le laboratoire, en réunion ou en audit à l’extérieur. Le reste du temps, je travaille à rédiger des procédures et des rapports. La communication, orale et écrite, est essentielle dans mon travail. 

Vanessa, diplômée 

Transmettre la passion du vivant 

L’enseignement des sciences reste un débouché significatif pour nos diplômes, tant dans les Hautes Écoles que dans l’enseignement secondaire supérieur. 

L’émergence de nouveaux métiers 

Ces dernières années, on observe que des biologistes rejoignent le monde hospitalier, soit dans des laboratoires de procréation médicalement assistée, soit dans la gestion d’études cliniques sur des patients malades. 

Les bioinformaticiens, qui allient à leur formation scientifique de solides compétences en bases de données ainsi qu’en statistiques et en programmation, jouent un rôle fondamental face à l’afflux des nouveaux séquençages génomiques et autres données issues de l’exploration du vivant. Ils modélisent et comparent cette mine d’informations dans le but de poser des hypothèses de recherche pertinentes à tester en milieu expérimental. 

Je suis biologiste dans le service de biologie moléculaire de l’Institut de Pathologie et de Génétique (IPG). Une des missions de l’IPG est le dépistage de maladies d’origine génétique (la mucoviscidose, par exemple) chez l’adulte, l’enfant, le nouveau-né ou encore chez le fœtus. En tant que biologiste, je suis amenée à gérer le travail d’une équipe de technologues de laboratoire, d’analyser les résultats obtenus pour chaque patient et de les communiquer au médecin en charge de celui-ci sous forme de compte-rendu. Nous devons également nous tenir informés continuellement des nouveautés scientifiques et techniques via des recherches bibliographiques, des formations et des congrès. La gestion du temps et des ressources à notre disposition ainsi que la capacité à communiquer des données à caractère scientifique de façon concise sont des compétences essentielles dans cette profession.

Charlotte, diplômée