Géographie études

Dès la première année, à côté d’une formation de base dans les matières scientifiques, vous étudiez les fondements de la géographie (cartographie, analyse territoriale…) et de la géologie (minéralogie, tectonique des plaques…). 

Vous approfondissez les domaines dans lesquels la géographie se développe (géographie économique, systèmes d’informations géographiques, écologie…) et vous apprenez à maitriser les matières spécifiques telles que la télédétection, la climatologie, la géographie de l’habitat et de la population, l’économie et la géopolitique. 

Tout au long de votre formation, vous développez des aptitudes de communication et d’utilisation des outils informatiques et vous acquérez une bonne compréhension de l’anglais scientifique. 

Une formation ancrée dans le développement durable

La formation en sciences géographiques de l’Université de Namur s’inscrit dans une logique de transition vers des espaces durables et résilients. 

Apprenez à répondre aux défis sociaux et environnementaux de notre société (changement climatique, migrations internationales, gestion des espaces et habitats naturels, transition énergétique…) pour acquérir une démarche scientifique tournée vers l’avenir et vers la résolution d’enjeux de société ! 

Vous partez sur de bonnes bases

  • vous avez le sens de l’observation ; 
  • vous avez des facilités à schématiser pour reproduire de manière simplifiée ce que vous observez ; 
  • vous vous sentez à l’aise en sciences sans nécessairement avoir suivi un programme fort en humanité ; 
  • vous avez une sensibilité pour la nature et un contact social facile ; 
  • vous avez l’esprit critique et de synthèse. 

Méthodes d’enseignement

Cours, séances d’exercices, travaux pratiques en laboratoire, journées et stages de terrain… tout est mis en œuvre pour assurer une excellente maitrise des concepts et le développement de compétences pratiques. L’approche géographique au cœur du projet d’enseignement réside dans le développement d’une capacité d’appréhension systémique et multidisciplinaire des problématiques géographiques. 

Organisés en petits groupes, les travaux pratiques vous aident à assimiler les matières dans un encadrement adapté et de qualité. Un projet d’analyse d’une problématique spatiale à présenter avec votre groupe, tel un bureau d’études, vous permet d’acquérir des compétences en communication bien utiles pour votre future profession de géographe. 

Sciences études

20 journées sur le terrain ! Dès le début de la formation, vous participez à des journées sur le terrain qui illustrent les cours théoriques, vous placent en situation réelle de mise en œuvre de votre discipline, et vous familiarisent avec les outils professionnels du géographe (GPS, drone…). 

Sciences études

À partir de la 2e année, certains de vos cours sont communs aux blocs 2 et 3 afin d’augmenter les interactions et le partage d’expériences entre étudiants. 

Durant le bachelier, vous pouvez choisir de participer à un projet associatif poursuivant des objectifs sociétaux (justice sociale, migration, environnement…) ou au projet d’une entreprise insérée dans l’économie sociale et solidaire et de valoriser votre engagement citoyen sous forme de crédits de formation. 

La réalisation de votre travail de fin de cycle vous prépare au mémoire de fin d’études : vous construisez une question de recherche identifiée en fonction de vos intérêts et pour laquelle vous présentez un travail d’analyse approfondie de la littérature scientifique et vous développez une méthodologie scientifique. 

Deux séjours à l’étranger de cinq jours chacun sont prévus dans le cursus, l’un dans les Alpes françaises et l’autre aux Pays-Bas (Amsterdam, Rotterdam...).  Ils vous permettent d’exercer vos compétences d’analyse de l’espace et d’appréhender un large panel des problématiques d’aménagement du territoire dans des milieux différents. 

Enfin, vous avez la possibilité de concourir à deux prix : le « Prix Ferraris » qui récompense le meilleur travail de fin de cycle en sciences géographiques à l’UNamur, et le « Prix de l’engagement » si, durant votre parcours en géographie à l’UNamur, vous vous distinguez des étudiants de votre promotion par votre implication et votre engagement en tant qu’étudiant et citoyen. 

Expérience internationale

Vous souhaitez combiner vos études avec une expérience culturelle unique et/ou une immersion linguistique ? 

C’est possible grâce au programme Erasmus proposé en 3e bloc de bachelier. Vous pouvez réaliser ce séjour d’études en Flandre, en Europe ou en dehors de l’Europe. De nombreuses destinations vous attendent. 

Aides à la réussite

Réussir une année d’études à l’université implique de nombreux défis. 

Pour vous aider à les relever, nous vous accompagnons dans le développement de vos compétences disciplinaires, méthodologiques, humaines… avec le soutien de nombreux professionnels. 

Cours préparatoires, aide individualisée… Découvrez les dispositifs mis en place pour votre formation. 

Après le bachelier : le master

Quelques mois avant la fin de la formation de bachelier, une rencontre avec des responsables de différents programmes de masters vous aide à déterminer au mieux la suite à donner à votre formation. 

Par sa diversité et par la qualité de ses méthodes d’enseignement, la formation de bachelier en sciences géographiques de l’Université de Namur vous ouvre les portes de l’ensemble des masters en sciences géographiques en Fédération Wallonie-Bruxelles et au-delà (France, Luxembourg, Flandre, Pays-Bas, Canada…) et vous permet de vous spécialiser dans des thématiques spécifiques : géomatique, sciences et gestion de l’environnement, glaciologie, démographie, climatologie, urbanisme, géopolitique… 

Suite à la mise en service d'une nouvelle application pour la gestion des programmes d'enseignement, certaines données n'apparaissent pas encore sur cette page. Vous trouverez l'affichage complet de la formation sur https://directory.unamur.be/teaching/programmes/240B

Tout replier
Tout déplier
Tout replier
Tout déplier
Tout replier
Tout déplier
Tout replier
Tout déplier

Conditions d'admission

Peuvent être admis aux études de bachelier, les titulaires d’un des titres suivants :

  • soit du certificat d'enseignement secondaire supérieur délivré à partir de l'année scolaire 1993-1994 par un établissement d'enseignement secondaire de plein exercice ou de promotion sociale de la Communauté française ainsi que les titulaires du même certificat délivré, à partir de l'année civile 1994, par le jury de la Communauté française (1);
  • soit du certificat d'enseignement secondaire supérieur délivré au plus tard à l'issue de l'année scolaire 1992-1993 accompagné du diplôme d'aptitude à accéder à l'enseignement supérieur (2);
  • soit d'un diplôme délivré par un établissement d'enseignement supérieur de la Communauté française sanctionnant un grade académique, soit d'un diplôme délivré par une institution universitaire ou un établissement organisant l'enseignement supérieur de plein exercice en vertu d'une législation antérieure (3) ;
  • soit d'un diplôme d'enseignement supérieur délivré par un établissement d'enseignement de promotion sociale (4);
  • soit d'une attestation de succès à un des examens d'admission organisés par les établissements d'enseignement supérieur ou par un jury de la Communauté française ; cette attestation donne accès aux études des secteurs, des domaines ou des cursus qu'elle indique ;
  • soit d'un diplôme, titre ou certificat d'études similaire à ceux mentionnés aux littéras précédents délivré par la Communauté flamande, par la Communauté germanophone ou par l'Ecole royale militaire ;
  • soit d'un diplôme, titre ou certificat d'études étranger reconnu équivalent à ceux mentionnés aux littéras précédents (1) à (4) ;
  • soit du diplôme d'aptitude à accéder à l'enseignement supérieur (DAES) conféré par le jury de la Communauté française ;
  • soit d'une décision, prise par le Gouvernement de la Communauté française de Belgique, attestant de l'équivalence du niveau d'études réalisées à l'étranger à un niveau d'études sanctionnées par l'octroi d'un grade académique de la Communauté française.

Sous certaines conditions, l’étudiant peut obtenir une réduction de la charge d’enseignement (jusqu’à 120 crédits maximum).

Pour plus d’informations, il y a lieu de prendre contact avec le service des inscriptions.

 

Description

La formation en sciences géogra­phiques de l’UNamur s’inscrit dans une logique de transition vers des espaces durables et résilients. L’idée est de quitter une « neutralité » pour former des étudiants qui seront sensibilisés et compétents pour intégrer une perspective de « durabilité » dans leur future activité professionnelle. Les étudiants apprennent à répondre aux défis sociaux et environnemen­taux de notre société (changement climatique, migrations interna­tionales, gestion durable des espaces et habitats naturels, transition éner­gétique…) pour acquérir une démarche scientifique tournée vers l’avenir et vers la résolution d’enjeux de société !

Utilisant de nombreuses techniques identiques (cartographie, télédétection, statistiques, modélisation...) et appliquant les mêmes méthodes d’apprentissage, les départements de géographie et de géologie de l’UNamur ont décidé de réaliser le premier bloc du bachelier en commun. Les étudiants peuvent donc choisir le programme qui leur convient par la suite et s’orienter vers une formation soit située au carrefour des sciences naturelles et des sciences humaines, où les interactions homme-environnement-société sont étudiées en détail (bachelier en géographie), soit axée sur les sciences de la Terre, où la gestion des ressources minérales est appréhendée dans l’espace et dans le temps (bachelier en géologie).

Dès le premier bloc, à côté d’une formation de base dans les matières scientifiques, les étudiants apprennent les fondements de la géographie (analyse territoriale, cartographie…) et de la géologie (minéralogie, tectonique des plaques…).

Par la suite, les étudiants approfondissent les domaines dans lesquels la géographie se développe (géographie écono­mique, systèmes d’informations géographiques, écologie…) et apprennent à maîtriser les matières spécifiques telles que la télédétection, la climatologie, la géographie de l’habitat et de la population, l’économie et la géopolitique.

Tout au long de leur formation, ils développent des aptitudes de communication et d’utilisation des outils informatiques et acquièrent une bonne compréhension de l’anglais scientifique.

 

Mobilité et ouverture internationale

Le programme de bachelier en sciences géographiques, s’intéressant aussi bien aux problématiques spatiales des pays du Nord que des pays du Sud, est considérablement ouvert sur le monde.

Cette ouverture se fait notamment par le contenu des UE, dont certaines sont présentées par des acteurs des pays du Sud et sont régulièrement organisées en collaboration avec le Forum Universitaire pour la Coopération Internationale au Développement (FUCID), ONG active au cœur du campus de l’UNamur dans le domaine de la coopération au développement et des relations Nord-Sud.

Le programme Erasmus, organisé en bloc 3, donne également aux étudiants la possibilité de s’ouvrir au monde en combinant les études de bachelier en sciences géographiques avec une expérience culturelle unique et/ou une immersion linguistique. Ce séjour d’études peut être réalisé en Flandre, en Europe ou encore en dehors de l’Europe.

 

Aide à la réussite

L’Université de Namur souhaite faciliter la transition entre l’enseignement secondaire et l’université. Différents dispositifs pédagogiques sont mis en place pour aider les étudiants au cours de leurs études. La proximité des étudiants et des enseignants qui caractérise l’UNamur permet un apprentissage personnalisé et attentif.

  • Passeport pour le bac

En début de bloc 1, les étudiants sont invités à répondre à un questionnaire appelé « Passeport » qui leur permet de se situer par rapport aux attentes des enseignants et par rapport aux autres étudiants. Sur la base des résultats, les étudiants peuvent bénéficier de séances de correction et de renforcement des prérequis. Ces « passeports » sont réalisés à partir d’une recherche menée au départ de l’Université de Namur pour cerner les « prérequis » nécessaires lors de l’entrée à l’université, c’est-à-dire les aptitudes apprises dans le secondaire auxquelles les unités d’enseignement de bloc 1 font appel.

  • Séminaire de méthodologie du travail étudiant

Dès le début du bloc 1, les étudiants doivent se familiariser avec de nouvelles techniques d’apprentissage : prendre des notes exhaustives d’exposés denses, gérer leur temps de travail en se fixant leurs propres échéances intermédiaires, mémoriser des quantités de matières plus importantes que dans le secondaire et donc les résumer. Ils doivent assurer leur compréhension des textes liés aux différentes matières et se familiariser à un type de communication propre à l’université. Disposer de stratégies efficaces dans ces domaines constitue un atout majeur pour réussir une première année.

Un séminaire de 5 séances de méthodologie vise à préparer les étudiants à ces nouvelles techniques d’apprentissage.

Par ailleurs, la Cellule interfacultaire d'appui pédagogique de l’UNamur répond à toute demande d’aide méthodologique et peut assurer un suivi individuel tout au long de l’année.

  • Remédiation

Dès la première semaine de cours et pendant tout le bloc 1, des séances de remédiation sont organisées et intégrées à la formation : c’est l’opération « Tremplin ».

Les délégués de cours relayent auprès des enseignants les difficultés rencontrées par les étudiants. Des séances de remédiation et d’exercices sont alors proposées pour les contenus des UE moins bien compris par les étudiants. Concrètement, chaque semaine, deux heures sont consacrées à la révision des principales matières scientifiques et à la méthodologie du travail universitaire.

  • Coach

Dès le début de l’année, les étudiants peuvent également bénéficier d’une aide personnalisée. Un coach les guide dans leurs études en leur proposant un service d’écoute, de conseil, d’interprétation des résultats, et les réoriente vers d’autres personnes ressources.

 

Méthodes d'enseignement

L’approche géographique au cœur du projet d’enseignement réside dans le développement d’une capacité d’appréhension systémique et multidisciplinaire des problématiques géographiques.

Théorie, séances d’exercices, travaux pratiques en laboratoire, journées et stages sur le terrain… tout est mis en œuvre pour assurer une excellente maîtrise des concepts et le développement de compétences pratiques.

Organisés en petits groupes, les travaux pratiques aident les étudiants à assimiler les matières dans un encadrement adapté et de qualité. Un projet d’analyse d’une problématique spatiale à présenter avec leur groupe, tel un bureau d’études, permet aux étudiants d’acquérir des compétences en communication bien utiles pour leur future profession de géographe.

20 journées sur le terrain ! Dès le début de la formation, les étudiants participent à des journées sur le terrain qui illustrent les unités d’enseignement (UE) théoriques, les placent en situation réelle de mise en œuvre de leur discipline, et les familiarisent avec les outils professionnels du géographe (GPS, drone…).

À partir de la deuxième année, certaines UE sont communes aux blocs 2 et 3 afin d’augmenter les interactions et le partage d’expériences entre étudiants.

Durant le bachelier, les étudiants peuvent choisir de participer à un projet associatif poursuivant des objectifs sociétaux (justice sociale, migration, environnement…) ou au projet d’une entreprise insérée dans l’économie sociale et solidaire et de valoriser leur engagement citoyen sous forme de crédits de formation. Être géographes, c’est aussi être des actrices et acteurs engagés dans la société.

La réalisation de leur travail de fin de cycle prépare les étudiants au mémoire de fin d’études : ils construisent une question de recherche identifiée en fonction de leurs intérêts et pour laquelle ils présentent un travail d’analyse approfondie de la littérature scientifique et développent une méthodologie scientifique.

Deux séjours à l’étranger de cinq jours chacun sont prévus dans le cursus, l’un dans les Alpes françaises et l’autre aux Pays-Bas (Amsterdam, Rotterdam…).  Ils permettent aux étudiants d’exercer leurs compétences d’analyse de l’espace et d’appréhender un large panel des problématiques d’aménagement du territoire, dans des milieux différents.

Enfin, les étudiants ont la possibilité de concourir à deux prix : le « Prix Ferraris » qui récompense le meilleur travail de fin de cycle en sciences géographiques à l’UNamur, et le « Prix de l’engagement » qui est décerné à l’étudiant qui s’est distingué des autres étudiants de sa promotion par son implication et son engagement en tant qu’étudiant et citoyen durant son parcours en géographie à l’UNamur.

 

Finalités et objectifs

La formation de bachelier en sciences géographiques poursuit un triple objectif : fournir des bases solides en sciences, ouvrir les étudiants aux différentes orientations de la géographie et initier leur esprit à une démarche scientifique propre à leur future profession. Cette démarche se résume en quatre mots : observation, description, analyse, interprétation.

Au terme du bachelier, les étudiants seront capables de se forger une opinion étayée et élaborée, en constante évolution avec son temps, sur les défis et les enjeux auxquels le monde doit faire face aujourd’hui et demain, dans la construction d’une société démocratique, inclusive et résiliente.

Les finalités et objectifs de la formation sont décrits selon les différents groupes de matières constituant la formation :

  • Sciences exactes et naturelles
    • acquérir une formation en sciences exactes et naturelles pour mieux appréhender les matières intrinsèques à la géographie et appuyer le savoir scientifique de l’étudiant ;
    • acquérir rigueur, logique, précision et esprit critique par le biais de ces unités d’enseignement (UE).
  • Sciences de la terre
    • connaître des notions avancées de géologie ;
    • acquérir une démarche rigoureuse permettant d’observer, identifier, décrire et interpréter les phénomènes naturels à la surface de la Terre ;
    • apprendre à observer et décrire le milieu physique comme support des organisations territoriales de l’Homme pour être capables d’analyser et interpréter les paysages ruraux et urbains et de contribuer à une transition vers des espaces durables et résilients.
  • Sciences sociales et humaines
    • obtenir les clés de lecture des productions spatiales, matérielles et immatérielles de l’activité humaine en adoptant différents points de vue d’analyse : spatiale, économique, sociologique et historique ;
    • comprendre les processus humains de plus en plus complexes qui façonnent nos sociétés, leurs cultures, leurs interactions et leurs territoires.
  • Méthodes de la géographie
    • acquérir les outils et méthodologies qui font la force et la spécificité des géographes ;
    • maîtriser les techniques de cartographie moderne qualifiant et quantifiant l’environnement naturel et humain ;
    • développer une expertise dans la manipulation des données spatiales et leur représentation cartographique : appliquer les règles du bon usage des données spatiales, traiter les images aériennes et satellitaires, choisir à bon escient les techniques de modélisation et d’interpolation spatiales ;
    • faire preuve de réflexivité sur leur travail de géographes et être capables de travailler en autonomie.
  • Autres enseignements / Information et communication
    • comprendre (audition et lecture) et être capables de rédiger des textes scientifiques de qualité en anglais, langue de la majorité de la documentation scientifique et technique en géographie ;
    • maîtriser les outils informatiques utiles au métier de géographe (logiciel de traitement de texte, de gestion de fichiers, d’archivage, de backup, graphique, de base de données…) ;
    • apprendre à travailler en groupe et à valoriser ses propres compétences au sein du groupe ;
    • développer un esprit critique et éthique par rapport à une série de pratiques présentées.
  • Exercices intégrés et travail de recherche
    • mobiliser l’ensemble des connaissances et compétences acquises au préalable ;
    • maîtriser la recherche de références bibliographiques scientifiques, développer un esprit critique par rapport au contenu scientifique des articles et formuler une question de recherche sur une problématique géographique ;
    • adopter une méthode scientifique pour résoudre une problématique géographique, utiliser la littérature scientifique et les principaux concepts et notions de la discipline géographique ;
    • défendre oralement ses choix méthodologiques ;
    • apprendre la communication scientifique, essentielle pour les géographes amenés à résoudre des problèmes de société en constante interaction avec la diversité des acteurs concernés.

 

Évaluation

  • En bloc 1

En bloc 1, des évaluations formatives sont organisées début novembre dans certaines matières. Les enseignants corrigent les copies, les commentent et organisent des séances de correction collectives. Ces tests n’interviennent pas dans les notes qui seront attribuées en fin d’année. Il s’agit uniquement d’un outil de formation pour que les étudiants puissent se rendre compte du niveau d’exigence des enseignants et juger de l’efficacité de leur travail et de leur aptitude à gérer une situation d’examen.

Une aide personnalisée ou en petits groupes est également offerte aux étudiants afin d’analyser les résultats obtenus aux évaluations formatives, de discuter de la méthode de travail ou d’approfondir certaines parties d’une matière.

En janvier, les étudiants de bloc 1 présentent les examens sur les matières enseignées lors du 1er quadrimestre. En cas d’échec, le résultat obtenu n’est pas pris en compte et les étudiants pourront encore présenter l’examen concerné en juin et en août-septembre.

  • Au-delà du bloc 1

Au-delà du bloc 1, les étudiants présentent en janvier un examen sur chacune des UE suivies. La note obtenue en janvier est définitive et retenue pour la première session d’examens.

 

Les métiers des géographes

Métiers des géographes

La formation en géographie ouvre les portes de professions extrêmement variées. Découvrez, dans cette web-série, huit domaines d’activités dans lesquels excellent d’anciens étudiants en géographie (pour la plupart venant) de l’UNamur ! 

Voici quelques-unes des questions que vous vous posez probablement et qui trouveront des réponses dans ces différentes vidéos :  

  • Comment anticiper les inondations ? 
  • Comment implanter un nouveau champ de panneaux solaires ? 
  • Pourquoi est-ce utile d’analyser le paysage ?  
  • Pourquoi apprend-on la géo dans le secondaire ? 
  • …  

Travailler dans un parc naturel

Analyser un paysage, pourquoi est-ce utile ? 

Annick Burnotte, chargée de mission aménagement du territoire et paysage, nous fait découvrir sa fonction au sein d’un Parc Naturel. 

aides à la réussite-geographie

Les satellites au service de la société

Avez-vous une idée de la manière d’anticiper les risques d’inondation ? 

Nathalie Stephenne, spécialiste en géomatique, met sa passion au service de la société. Elle nous raconte comment les satellites et la cartographie nous permettent aujourd’hui d’anticiper et de gérer les risques naturels. 

 

aides à la réussite-geographie

Quand l’enseignement devient une passion

Au fond, pourquoi apprend-on la géo dans le secondaire ? 

Jérémie Bihin découvre au fil de ses expériences sa passion pour l’enseignement. Maintenant professeur dans le secondaire, il nous livre l’importance d’enseigner cette discipline aux jeunes d’aujourd’hui. 

aides à la réussite-geographie

Travailler avec les pays du Sud et lutter contre les épidémies

Et en Afrique, est-ce qu’on lutte contre une épidémie comme la covid-19 ? 

Yann Forget est « data scientist ».  Il nous révèle comment l’analyse spatiale des données de santé joue un rôle dans la gestion des épidémies sur le continent africain. 

aides à la réussite-geographie

La cartographie au service des cyclo-voyageurs

Le vélo, est-ce une affaire de géographe ? 

Marc Lejeune crée des guides et des itinéraires pour cyclo-voyageurs. L’esprit entrepreneur, il parcourt la France à deux roues pour confectionner en connaissance de cause des cartes adaptées pour les amoureux du vélo. 

aides à la réussite-geographie

Construire un monde où les énergies sont plus durables

Comment implanter un nouveau champ de panneaux solaires ? 

Les énergies renouvelables sont une solution pour l’avenir. Maxime Vandeputte est chef de projet d’une équipe qui réalise des études d’incidences notamment sur l’implantation de parcs d’énergie éolien et solaire en Wallonie. 

 

aides à la réussite-geographie

« Le transport en commun possède un bel avenir »

Savez-vous comment les réseaux des bus TEC sont élaborés ? 

Marie Vidotto est gestionnaire en matière de mobilité. Elle nous livre aujourd’hui comment, dans le secteur public, les lignes du réseau de bus TEC sont pensées et élaborées pour répondre au mieux à la demande des utilisateurs. 

aides à la réussite-geographie

La migration c’est aussi une affaire de géographes !

Fedasil, ça vous évoque quelque chose ? 

Perrine Raquez travaille à Fedasil. Alors que la migration est un sujet qui polarise beaucoup, elle travaille au jour le jour pour que l’arrivée et l’installation de migrants issus de zones de conflits se passe au mieux. 

aides à la réussite-geographie